(photos de notre travail et devis sur demande). Le circuit automobile du Comminges est un ancien circuit automobile. Situé à proximité de la ville de Saint-Gaudens. Le Grand Prix du Comminges est la principale épreuve disputée sur ce parcours qui a également accueilli le Grand Prix de France en 1928.
18 Grands Prix auto et 16 Grands Prix moto s'y dérouleront entre 1925. La pente menant aux tribunes principales ici W. Affiche du circuit du Comminges 1928. À lorigine, la course automobile est créée pour attirer les touristes dans la région de Saint-Gaudens.
Le circuit de 27,66. Est établi en 1925 entre les villes de Saint-Gaudens. Le terrain vallonné permet davoir une bonne vue sur les parties critiques du circuit ; la zone de départ et la zone darrivée. L'épreuve acquiert rapidement une renommée internationale et en 1928. S'y court le Grand Prix de France.
Le circuit connaît quelques modifications en fonction des évènements et du nombre de participants. On échappe de peu à une catastrophe.
Il pleut et René Dreyfus est en tête sur sa Bugatti. Lorsqu'il dérape dans un virage serré.
Il est éjecté et sa voiture effectue plusieurs tonneaux en direction de la foule. Par miracle la voiture entre en collision avec un petit arbre qui la stoppe net. Dreyfus reprendra ses esprits pour découvrir quil ne souffre que de blessures minimes. En 1933, la longueur du parcours est réduite à 11,005. Et des tribunes pouvant accueillir près de 12 000 spectateurs sont construites.La ligne droite s'étend sur 6. Une controverse sur la réglementation des courses automobiles entraîne un boycott. Des écuries officielles qui ne permet pas aux épreuves de 1937 et 1938 davoir lieu. Le Grand Prix de 1939.
Est remporté par le français René Le Bègue. Interrompu par la seconde Guerre mondiale. Le Grand Prix du Comminges reprend en 1947. Les bénéfices de la course servaient généralement à alimenter une action de bienfaisance locale et cette édition de 1947 servira pour les prisonniers de guerre.
L'épreuve de 1948, remportée par le pilote italien Luigi Villoresi. En 1952, la longueur du circuit passe à 4,407. À l'occasion de la course de Formule 2. Catégorie retenue alors pour le championnat du monde des pilotes.Au deuxième tour, le pilote français André Simon. Doit céder sa Ferrari à Ascari.
Victime d'un accrochage, ce dernier remportera la victoire. Ce sera la dernière grande course à se tenir au Comminges. William Grover-Williams vainqueur du Grand Prix du Comminges 1928 sur Bugatti T35C, passant devant les tribunes principales. Franco Comotti vainqueur du Grand Prix du Comminges, en 1934 sur Alfa Romeo Tipo B.
Hellé Nice sur Alfa Romeo Tipo B, au Grand Prix du Comminges 1934. Louis Chiron, au Grand Prix du Comminges en 1935. Édition 1936 du Grand Prix du Comminges (Dreyfus ici devant Benoist). Grand Prix du Comminges 1936, victoire de JP Wimille.
Grand Prix de l´ACF Comminges. A-G désigne la réglementation des épreuves automobiles d'avant-guerre, cette catégorie correspond à celle de nos Formule 1.Remarque: le monégasque Louis Chiron est le seul à s'être imposé à deux reprises -pour trois podiums-, à 21 années d'écart. Circuit du lac d'Aix les Bains.
Circuit des Nations Genève (CH). Circuit des Platanes de Perpignan. Circuit automobile des remparts d'Angoulême. Circuit automobile d'Albi (Les Planques).Le Comminges dans ses limites du. Siècle et les communes et départements actuels.
Ancienne circonscription de la province. Comenge est une région naturelle. Françaises, antique territoire du peuple des Convenae. Regroupé autour de Lugdunum Convenarum. , ancienne circonscription de la province de Gascogne. Située sur les départements actuels du Gers. Haute vallée des sources de la Garonne. Était aussi un territoire du Comminges jusqu'au. Siècle, encore rattaché au diocèse de Comminges. Jusqu'en 1802, date de fusion avec le diocèse de Toulouse.Maintenant, le pays de Comminges. Est un territoire de la région Occitanie.
Dans le Sud de la Haute-Garonne. Département français au classement des points culminants grâce à la chaîne des Pyrénées commingeoises au-dessus de la station thermale et de sports d'hiver de Bagnères-de-Luchon, village d'Oô. Cette ancienne province de la France.
Méridionale, autrefois entre le duché de Gascogne et la province du Languedoc, aujourd'hui répartie entre les départements de la Haute-Garonne. Se divisait dans le sud de son territoire en Comminges languedocien, dit aussi bas Comminges et petit Comminges, dans le nord-est, avec pour villes principales Muret. En Comminges gascon ou haut Comminges, dans le sud, entre la Barousse. Avec pour villes principales Bagnères-de-Luchon.
Elle est issue du comté de Comminges. Qui s'étendait de Muret.
Le comté du Comminges n'occupe qu'une partie du Comminges. Les enclaves commingeoises de la jugerie de Rivière-Verdun. Et les enclaves languedociennes du diocèse civil dit du petit Comminges.
Occupant le reste de son territoire. Et le comté d'Aure. Ou le pays des Quatre-Vallées. , dépendant, du comté du Comminges, complètent sa zone d'influence.Le bas Comminges se divise en petits pays languedociens et gascons, irrigués par la Save. Et le Comminges, parsemé d'enclaves, ressemblant à un gruyère.
Le haut Comminges se divise en petits pays axés principalement sur la haute vallée de la Garonne. Et sur celle de son affluent la Pique. S'applique plus spécifiquement à la région de Saint-Gaudens. Proprement dit n'occupe qu'une partie du Comminges. Occupait une place stratégique entre la Gascogne.
Dont il dépendait et le Languedoc. Considéré comme la capitale historique du Comminges, n'était même pas dans le comté du Comminges mais dans une des nombreuses enclaves de la jugerie de Rivière-Verdun. La ville la plus importante du haut Comminges, se trouvait dans la vicomté du Nébouzan. Et non dans le comté du Comminges.
C'est ainsi que Muret. Est devenue la capitale du comté du Comminges sans être la capitale du Comminges. Dépendaient du comté du Comminges. Les nombreuses enclaves de la jugerie de Rivière-Verdun.Dans le Comminges dépendaient du duché de Gascogne. Les quatre enclaves du diocèse civil du petit Comminges. (onze paroisses) dépendaient, elles, du Languedoc. Administrativement, les États du Comminges.
Aujourd'hui, on entend généralement par Comminges le sud du département de la Haute-Garonne. Le Comminges, traversé par la Garonne. Et ses affluents montagnards, présente une remarquable diversité de paysages, depuis les neiges éternelles de la crête-frontière jusqu'aux chaudes plaines alluviales qu'arrose le fleuve à sa sortie du massif. Attestée sous la forme in Cummonigo. Est : de gueules aux quatre otelles d'argent adossées et posées en sautoir. De la Protohistoire au Moyen Âge.Le Comminges était occupé par les Convènes. Il avait pour chef-lieu le site gallo-romain de Lugdunum Convenarum. Appelée aussi Communica (et par corruption Comminica , d'où Comminges), parce qu'elle servait de rendez-vous général pour les assemblées ou communes des petits peuples voisins des Pyrénées.
C'est là qu'auraient été exilés Hérode Antipas. Ces deux personnages doivent leur célébrité au fait qu'ils sont mentionnés dans les Évangiles. Hérode Antipas est le meurtrier de Jean le Baptiste. Venus probablement avec quelques serviteurs et fidèles, leur exil constituerait le premier établissement de Juifs.
Le pays de Comminges fut inclus en 628. Dans le duché d'Aquitaine. Et plus tard dans le duché de Gascogne. À l'extinction de la dynastie locale. Il fut réuni à la couronne de France.
En 1701, pour Henry Le Bret. Le Comenge est une élection composée de trois bureaux : Muret. En 1789, le comté de Comminges.
Divisée en dix châtellenies Muret, Samatan. Et Fronsac dans le Comminges, Saint-Girons. Dans le Couserans et quatre aides. (Sauveterre, Montespan, Encausse et Lescure) complétaient la division territoriale de cette terre d'élection. Les vicomtés du Couserans et du Nébouzan ainsi que le pays des Quatre-Vallées. La jugerie de Rivière-Verdun, avec ses nombreuses enclaves en Gascogne, en Lomagne. Et dans le Comminges vingt-huit enclaves.Dont douze dans le comté du Comminges et les vicomtés dépendantes, était une terre d'élection dépendant du duché de Gascogne. Le diocèse civil, dit « du petit Comminges » (onze paroisses dans quatre enclaves), dépendait du Languedoc comme les quatre enclaves du diocèse civil de Toulouse dispersées dans le Couserans. À la création des départements, le comté du Comminges fut partagé entre les départements du Gers, des Hautes-Pyrénées, de l'Ariège et de la Haute-Garonne. Sur certaines cartes anciennes, une distinction est faite entre le bas Comminges et le haut Comminges (voir carte du Béarn, de la Bigorre, de l'Armagnac et des pays voisins, par Guillaume Delisle en 1712).
Le bas Comminges était partagé entre le comté de Comminges, la jugerie de Rivière-Verdun, la vicomté du Nébouzan et trois des quatre enclaves du Languedoc (réunies dans le diocèse civil appelé petit Comminges). La châtellenie de Muret comprenait : Muret. Saint-Amans-et-Ribonnet, Saint-Pierre-de-Bajourville, Estantens ou Saint-Cassien et La Combe ou Lacombe, se sépare de Ribonnet rattaché à Beaumont-sur-Lèze. Eaunes (séparée de Muret en 1771), Estantens ou Saint-Cassien, La Combe ou Lacombe, Ox, Saint-Amans-et-Ribonnet, Saint-Pierre-de-Bajourville, (paroisses éphémères de 1790 à l'an VIII, toutes absorbées par Muret, seul Ribonnet fut détaché et rattaché à Beaumont-sur-Lèze), Fontenilles. En 1801, La Bastide-des-Feuillans Labastide-Clermont.(Labastidette), La Casse (Lacasse), La Vernoze (Lavernose) Lavernose-Lacasse. En 1964, Laouach (absorbé par Le Fauga), Le Hauga, puis Fauga Le Fauga. En 1801, Lannes, Lespéries commune de l'an IV à 1836, absorbé par Rieumes. Pins (Pins-Justaret en 1801), Poucharramet. (absorbe Saint-Jean-de-Poucharramet en l'an VIII), Roques.
Saint-Hjlaire (fusion puis absorption de Villeneuvette en l'an XII), Saint-Jean-de-Poucharramet rattaché à Poucharramet. En l'an VIII, Sahuguède Saiguède. Fusion éphémère en l'an VIII avec Bonrepos.
Villeneuvette commune de l'an II à l'an XII puis fusion avec Saint-Hilaire. (absorbe une partie de La Hillère en 1839), Azimont (disparue), Bragairac Bragayrac. En 1801, Casties, Labrande (Casties-Labrande, fusion en 1794), Castelnau-de-Picampau (Castelnau-Picampeau en 1801), Empaux Empeaux. Forgues, Fustignac, Garimont (absorbé par Monès en l'an VIII), Garravet.Gensac-Savès (absorbé par Montpezat en 1829), Goux ou Gouts (absorbé par Le Pin-Murelet en 1806), La Bastide Labastide-Savès. En 1801, La Haugarette (absorbé par Le Pin-Murelet en 1802), La Hillère (rattaché pour partie à Monblanc et à Samatan en 1839), Lagarde-Savès (rattaché en 1790 à Saint-Thomas), Lambès (disparue), Laymont, Lautignac, La Hage (Lahage), Le Périguer (disparue), Lombez.
Murelet (rattaché au Pin en l'an X et à Gensac en 1829), Le Pin (absorbe Murelet en l'an X, Gouts et La Haugarette en 1806, absorbe Montpezat de 1828 à 1829, devient Le Pin-Murelet en 1829, se sépare de Murelet en 1829), Montadet. Montastruc-le-Vieux (Montastruc-Savès en 1958), Montégut (Montégut-Savès en 1958), Montgras, Montpezat (rattaché au Pin de 1828 à 1829, absorbe Gensac-Savès en 1829), Monblanc (absorbe La Hillère en 1839), Monès (absorbe Garimont en l'an VIII), Mourens, Murelet (absorbé par Le Pin en l'an X, fusion avec Le Pin en 1829, absorbé par Gensac-Savès et Montpezat en 1829), Nizas, Noilhan, Pebées, Peyrigné (absorbé par Seysses-Savès en 1839), Plagnole, Pompiac, Pouy-de-Touges, Puylausic, Sabonnères, Saint-Araille-de-Samatan (Saint-Araille), Saint-Lizier-du-Planté, Saint-Loube, Amadès (Saint-Loube-Amadès, fusion en 1823), Saint-Thomas. Du-Désert (Saint-Thomas en 1793, absorbe Lagarde-Savès en 1790), Saubimont (Sauvimont), Savères, Sénarens et Seysses (Seysses-Savès en 1801, absorbe Peyrigné en 1839). L'aide de Sauveterre comprenait : Sauveterre, Bézéril (absorbe Villeneuve en 1822), Gaujac, Larrouqueau (absorbé par Mongausy en 1824), Montamat, Pellefigue (absorbe Auriébat et Viella en 1823), Sabeilhan, Saint-Solan-Devant et Saint-Solan-Derrière (Saint-Soulan) et Tournan.La châtellenie de L'Isle-en-Dodon. Comprenait : L'Isle-en-Dodon (absorbe Lagarde-de-l'Isle en 1828), Agassac, Anan, Ambax-la-Mezan (Ambax), Barran (absorbé par Montbernard en 1790), Bouchède (Boissède), Castelgaillard, Cazac (séparé de Labastide-Paumès en 1958), Coueilles, Frontignan-de-L'Isle (Frontignan-Savès en 1930), Figas ou Higas (absorbé par Montbernard en l'an X), Gensac (Gensac-de-Boulogne en 1929, enclave avec Saint-Loup-en-Comminges entre le Magnoac et le Nébouzan), Goudex, Labastide-Pomés (Labastide-Paumès en 1801, se sépare de Cazac en 1958), Lagarde-de-L'Isle (absorbé par L'Isle-en-Dodon en 1828), Lilhac, Lunatz (Lunax), Martisserre, Mauvezin-de-l'Isle ou Mauvezin-Savès (Mauvezin), Mirambeau, Mondilhan, Montbernard (absorbe Montbernard en 1790 et Figas en l'an X), Montesquieu-de-Lisle, Guittaut (Montesquieu-Guittaut, fusion en 1839), Nénigan, Peguilhan, Polastron, Puymaurin, Rieulas (Riolas), Saint-Ferréol (Saint-Ferréol-de-Comminges en 2003), Saint-Laurens-des-Religieuses Saint-Laurent. , Salerm, Saint-Loup (Saint-Loup-en-Comminges en 1929, enclave avec Gensac-de-Boulogne entre le Magnoac et le Nébouzan), ainsi qu'Aventignan (Avintinhan, enclave entre Tébiran et Saint-Laurent-de-Neste), Cardeilhac (enclave entre le Nébouzan et Lalouret-Lafitteau), Clarac (enclave entre Valentine et Bordes-de-Rivière), Sédeilhac (enclave entre Lécussan et Saint-Plancard), Beyrède, Jumet (Beyrède-Jumet, fusion en 1801, enclave dans la vallée d'Aure, État des 4 Vallées). Comprenait : Montespan, Ausson (enclave entre Taillebourg et Montréjeau), Bordères (Bordères-près-Arreau en 1801, enclave dans le Louron, devient Bordères-Louron en 1897, absorbe Ilhan en 1972), Cuguron, Mazères (Mazères-de-Neste en 1953), Saint-Laurent (Saint-Laurent-de-Neste en 1962), Villeneuve-Rivière (Villeneuve-de-Rivière en 1801), ainsi que Cazarilh, Lécussan et Villeneuve-de-Lécussan (enclave entre le Nébouzan et la Gascogne). La châtellenie de Saint-Julien comprenait : Saint-Julien Saint-Julien-sur-Garonne.
(absorbe Lafitte-Volvestre en 1790), La Fite ou Lafitte-Volvestre (absorbé par Montberaud en 1790), Le Plan. (absorbe Tersac en l'an II), Saint-Cizy absorbé par Cazères. En 1842, Tersac (absorbé par Saint-Christaud en l'an II). La châtellenie d'Aurignac comprenait : Aurignac.
(absorbe une partie de Ramefort en 1825), Auzas. (absorbe une partie de Ramefort en 1825), Boussens. Castéra, Vignoles (Castéra-Vignoles, fusion en 1839).
Castillon (Castillon-de-Saint-Martory en 1801), Cazeneuve, Montaut (Cazeneuve-Montaut, fusion en 1825), Charlas. (ou Saint-Sabin d'Escanecrabe), Esparron, Estancarbon. Gariscan (absorbé par Latoue en 1793), Gensac-d'Aurignac (Gensac-de-Boulogne en 1929, enclave entre le Magnoac, en Gascogne, et le Nébouzan), Lalouret, Laffiteau ou La Petite-Fitau, Lalouret-Laffiteau. Fusion en 1848, La Lagoutte-Gontaut (Proupiary), Landorthe. Larcan, Laton (devient Latour puis Latoue en 1801, absorbe Gariscan en 1793), Lescuns. Lestelle (Lestelle-de-Saint-Martory en 1921), Lieoux. (absorbé par Saint-Gaudens en 1973), Lussan, Adeilhac Lussan-Adeilhac. En 1801, Martignan (rattaché à Fabas en l'an IV), Martres (Martres-Tolosane en 1929), Mengué (commune de 1790 à 1791, absorbé par Aulon), Mont-d'Avezan. (Mondavezan), Montastruc (Montastruc-Savès en 1801), Montégut-d'Aurignac (Montégut-Bourjac en 1925), Montgaillard d'Aurignac Montgaillard-sur-Save.Saint-Andreau (Saint-André en 1801, absorbe une partie de Ramefort en 1825), Saint-Ignan. Saint-Lary-d'Aurignac (Saint-Lary-Bonjean en 1921, Saint-Lary-Boujean en 1955), Saint-Marcet. Saman, Saux, Pomarède (Saux-et-Pomarède, fusion en 1804), Samouillan. (ou Esquiétdaze), Tillet (absorbé par Montoussin en 1790), Tournas (fusion avec Cassagnabère en 1855), ainsi que Cazeaux (Cazaux-Savès) et Caumont [enclave entre la châtellenie de Samatan (comté de Comminges), l'enclave de Gimont (jugerie de Rivière-Verdun) et l'aide de Sauveterre (comté de Comminges)].
Le haut Comminges était partagé entre le comté du Comminges, la vicomté du Nébouzan, la jugerie de Rivière-Verdun, la vicomté des Quatre-Vallées, et une des quatre enclaves du diocèse civil du petit Comminges dépendant du Languedoc. La châtellenie de Salies comprenait : Salies (Salies-du-Salat en 1958), Ausseing, Bager (Bagert en 1801), Barjac, Belloc (absorbé par Betchat de 1790 à 1794), Betbèze (Belbèze en 1801, devient Belbèze-Escoulis en 1921, se sépare d'Escoulis en 1952, devient Belbèze-en-Comminges en 1957), Betchat (absorbe Belloc de 1790 à 1794), Cazavet, Castagnède, Caumont, Contrazy, Couret (absorbe Escaich en 1793), Couts ou Coux (commune de 1790 à 1791), Escoulis (se sépare de Belbèze en 1952), Figarol, Gajan, La Bastide (La Bastide-du-Salat en 1801), La Cave (Lacave), Lorp, Sentaraille (Lorp-Sentaraille, fusion en 1971), Mane, Marsoulas, Mercenac, Monclar Montclar-les-Prés en 1929 et Montclar-de-Comminges. En 1937, Montégut (Montégut-en-Couserans en 1962), Montesquieu (Montesquieu-Avantès en 1801), Montgaillard (Montgaillard-de-Salies en 1929), Prat, Bonrepaux Prat-Bonrepaux.Fusion en 1971, Roquefort Roquefort-sur-Garonne. En 1921, Saint-Vincent, Saint-Araille, Lizier (Saint-Lizier en 1801), Sarradas (Cassagne en 1801), Souech (Soueich en 1801), Touille, Torignon puis Torignan-Vieux (Taurignan-Vieux en 1801), Torignon-Castet puis Taurignan-Castel (Taurignan-Castet en 1801). La châtellenie d'Aspect comprenait : Aspect (Aspet, se sépare de Sengouagnet en 1835), Affis (His), Alas (absorbe Agert et Balagué en 1794, devient Balaguères en 1801) Agert, Balagué (absorbés par Alas en 1794), Arbas. Balaguères (créé en 1801 en absorbant Agert et Balagué en 1794), Bordères, Castelviague. (Castelbiague, absorbé par Saleich de 1816 à 1817), Chein-Dessous ou Debat (commune en l'an II, supprimée), Chem-Dessus Chein-Dessus.
En 1801, Couret (absorbe Escaich en 1793), Cuguron. Escaich (absorbé par Couret en 1793), Estadens. Fougaron (se sépare de Herran en 1871), Francazal (absorbé par Saleich de 1816 à 1817), Gantiès, Herran (détaché de Fougaron en 1871), Labarthe-Inard, Mazères, Milhas (détaché d'Aspet en 1835, se sépare de Razecueillé en 1870), Montastruc Montastruc-de-Salies en 1929, absorbe Saint-Martin-de-Comminges en? , Pointis-Inard, Portet, Razecueillé (détaché de Milhas en 1870), Rouède, Saint-Martin-de-Comminges absorbé par Montastruc-de-Salies en?
(se sépare de Urau en 1870), Urau (détaché de Saleich en 1870) et Villeneuve-Rivière (Villeneuve-de-Rivière en 1801). La châtellenie de Fronsac comprenait : Fronsac, Antichan Antichan-de-Frontignes. (absorbé avec Coulédoux par Boutx en 1974), Artigue.
(fusion avec Binos de 1840 à 1948, se sépare de Binos en 1948), Bagiry. En 1801, rattaché à Saccourvielle en 1847, détaché en 1864, Bezins (absorbe Bézins-Dessus en 1801), Garraux Bezins-Garraux. (fusion avec Bachos de 1840 à 1948, se sépare avec Bachos en 1948), Bize, Bourg, Boutx. (absorbe Coulédoux et Argut-Dessus en 1974), Burgalays.Fusion en 1793, Cenos, Chaum, Cier-de-Luchon (absorbe Montmajou en 1794), Compeils, Cierp, Gaud Cierp-Gaud. Fusion en 1972, Signac (avec Cierp-Gaud de 1973 à 1983), Cirès.
Couledoux (absorbé par Boutx avec Argut-Dessus en 1974), Esténos. Juzet (Juzet-d'Izaut en 1801), Izaut Izaut-de-l'Hôtel.
Mareigne (Mayrègne en 1793), Marignac. En 1937, Montmajou (absorbé par Cier-de-Luchon en 1794), Moustajon. Ore, Portet (Portet-d'Aspet en 1801), Saccourvielle. (absorbe Benque-Dessous-Dessus en 1847, s'en sépare en 1864), Sainte-Anne (créé en 1726, supprimée en 1791), Salles, Pratviel (Salles-et-Pratviel, fusion en 1794), Saint-Mamet.
En 1794, Sengouagnet (détaché d'Aspet en 1835), Sierp, Sode. Villers-et-Mamet (commune en 1790), ainsi que Nistos, Bizes, Hèchetès et Hèches (enclave entre les 4 Vallées et le Nébouzan). L'aide d'Encausse comprenait : Encausse (Encausse-les-Thermes en 1921), Cabanac, Cazeaux (Cabanac-Cazeaux, fusion en 1921), Payssous, Rieucazé, Regades, Cardeilhac (enclave entre le Nébouzan et la châtellenie d'Aurignac), Campistrous (enclave entre le Nébouzan et l'enclave de Galan de la jugerie de Rivière-Verdun), Esparros, La Bastide (enclave dans la vallée d'Aure de l'État des Quatre-Vallées).
L'aide de Lescure comprenait : Lescure (absorbe Saint-Jean-Dulcet en 1793), Montesquieu (Montesquieu-Avantès en 1801), Saint-Jean-Dulcet (absorbé par Lescure en 1793) et Montbrun (Montbrun-Bocage en 1921). La vicomté du Couserans, dépendant du comté du Comminges (après la fin de sa "dépendance" du comté de Foix suivie son indépendance), était divisé en deux châtellenies mais quatre petites enclaves (avec six paroisses) dépendaient du diocèse civil de Toulouse, donc du Languedoc. La châtellenie de Saint-Girons comprenait : Saint-Girons (absorbe Lédar en 1793), Aleu, Alos, Araux (absorbé par Erp en 1792), Aulus (Aulus-les-Bains en 1938), Couflens, Encourtiech, Ercé, Erp (absorbe Araux et Régule en 1794), Echeil (Eycheil), La Court (Lacourt), Lédar (absorbé par Saint-Girons en 1793), Régule (absorbé par Erp en 1794), Rivière-Nert (Rivèrenert), Rogalle (absorbé par Soueix en 1973, devient associé en 1992), Sérac-d'Ustou (absorbé par Ustou en 1793), Soulan, Soueich-de-Couserans (devient Soueix en 1793 puis Soueix-Rogalle, fusion en 1992), Vic-d'Oust (absorbé par Oust en 1969), Oust (absorbe Vic-d'Oust en 1969), Saint-Lizier-d'Ustou (absorbé par Ustou en 1793), Sentenac-d'Oust, Trein-d'Ustou (absorbé par Ustou en 1793), Ustou (créÉ en 1793 en absorbant Saint-Lizier-d'Ustou, Sérac d'Ustou et Trein-d'Ustou).
La châtellenie de Castillon comprenait : Castillon Castillon-en-Couserans. En 1801, absorbe Aubert, Luzenac. Montfaucon et Sour en 1793, Angonnes Engomer. En 1801, absorbe Astien en 1793, Antras. Aret (absorbé par Arrien en 1931), Argein. En 1931 en absorbant Aret, Tournac et Villargein en 1931, Arrout. Astien (absorbé par Engomer en 1793), Aubert (absorbé par Moulis en 1793), Aucasein Aucazein.En 1793, Aulignac absorbé par Les Bordes-sur-Lez en 1793, qui fusionne en 2017 avec Uchentein pour devenir Bordes-Uchentein. , Ayet et Samortein (devient Bethmale en 1931, se sépare d'Aret, Arrien, Tournac et Villargein en 1931), Balacet. (créé en 1851 en absorbant Le Saraillé et Le Port en 1851), Bonac, Irazein Bonac-Irazein. Fusion en 1971, Bordes Les Bordes-sur-Lez. En 1873, absorbe Aulignac, Idrein et Ourjout.
(absorbe Rieuprégon en 1793), Cescau. (absorbe Salau en 1793), Euc Sentein Uchentein.
(absorbe Orchein en 1793), Idrein (absorbé par Les Bordes-sur-Lez en 1793), Illartein. Jean Saint-Jean en 1801, Saint-Jean-du-Castillonnais. (se sépare du Saraillé et du Port en 1851), Montfaucon et Sour absorbés par Moulis.
En 1793, Orchein absorbé par Galey. (absorbe Augistrou en 1793), Ourjout (absorbé par Les Bordes-sur-Lez en 1793), Rieuprégon absorbé par Boussenac.
Tournac (absorbé par Arrien en 1931), Villargein (absorbé par Arrien en 1931) et Villeneuve. Le Nébouzan était une vicomté dépendant du comté du Comminges, situé entre l'État ou le pays des Quatre-Vallées, les enclaves dispersées de la jugerie de Rivière-Verdun et celles du diocèse civil du "petit Comminges" dépendant du Languedoc. Il était composé de quatre châtellenies dans sa partie orientale et d'une viguerie dans sa partie occidentale.
Sa partie orientale comprenait vingt-huit paroisses réparties entre les châtellenies de Saint-Gaudens. De Sauveterre, de Cassagnabère et de Saint-Plancat Saint-Plancard. La châtellenie de Saint-Gaudens comprenait : Saint-Gaudens (absorbe Lieoux en 1973) et Miramont ou Miremont Miramont-de-Comminges. La châtellenie de Sauveterre comprenait : Sauveterre (Sauveterre-de-Comminges en 1936), Barbazan, Labroquère, Ardiège, Gourdan, Polignan (Gourdan-Polignan, fusion depuis l'an VIII, séparé de Seilhan en 1896), Labarthe (Labarthe-Rivière), Seilhan (détaché de Gourdan en 1896).
La châtellenie de Cassagnabère comprenait : Cassagnebère devient Cassagnabère en 1801, fusion avec Ramefort pour devenir Cassagnabère-et-Ramefort. En 1825, se sépare d'une partie de Ramefort en 1855, fusion avec Tournas, devient Cassagnabère-Tournas en 1855, Aulon, Cantaous (séparé de Tuzaguet en 1957), Escala, Lannemezan. Pinas, Tuzaguet (séparé de Cantaous en 1957), Peyrouzet, Bizous et Ramefort commune de l'an IV à 1825 avec plusieurs enclaves réparties entre Cassagnabère. Boussan, Aurignac et Saint-André en 1825, Saint-Élix, Seiglan Saint-Élix-Séglan.
La châtellenie de Saint-Plancat comprenait : Saint-Plancat (Saint-Plancard), Balesta, Blajan, Franquevielle, La Roque (Larroque en 1793), Le Cuing, Lespugue, Lodes, Loudet, Montmaurin, Nizan (Nizan-Gesse en 1921), Sarrecave, Sarremezan et les abbayes cisterciennes de Nisors ou de la Bénédiction-Dieu ou Bénisson-Dieu. La partie occidentale de la vicomté de Nébouzan comprenait dix-huit paroisses, formant une viguerie.La viguerie de Mauvezin comprenait : Mauvezin, Artiguemy, Asque, Avezac, Prat, Lahitte Avezac-Prat-Lahitte. Fusion en 1972, Batsère, Bégole, Benqué, Bettes, Bonnemazon, Bourg (Bourg-de-Bigorre en 1962), Bulan, Cieutat, Capbern Capvern.
Fusion en 1793, Espèche, Espieilh, Fréchendets, Gourgue, Labastide, Laborde, Lagrange, Lomné, Lutilhous, Marsas, Péré, Poumarous, Sarlabous, Tilhouse, Uzer. Appelées également État des Quatre-Vallées. Ces quatre vallées étaient une ancienne province française regroupant les vallées d'Aure, de la Basse-Neste, de la Barousse et du Magnoac.
Comprenait : Sarrancolin, Aragnouet, Ardengost, Arreau, Ancizan, Aspin, Aure (Aspin-Aure, fusion en 1957), Aulon, Azet, Barranqueau (Barrancoueu), Bazus Bazus-Aure. En 1801, Bourisp, Cadeac, Cadeilhan, Trachère (Cadeilhan-Trachère, fusion en 1801), Camparan, Camours (Camous), Estensan, Frechet Fréchet-Aure.
En 1801, Grézian, Gouaux, Guchen, Guchan, Grailheu, Ilhet, Jézeau, Lançon, Pailhac, Sailhan, Saint-Lari (Saint-Lary), Soulan Saint-Lary-Soulan. Fusion en 1964, Soulon, Tramezaïgues, Vielle (Vielle-Aure en 1801) et Vignec. La vallée de la Basse-Neste comprenait : La Barthe La Barthe-de-Neste.
En 1889, absorbe Mour en 1808, Bazus (Bazus-Neste en 1801), Lortet, Mazouau, Mour (absorbé par La Barthe en 1808), Saint-Arroman et Saint-Paul. La vallée de la Barousse. Comprenait : Mauléon (Monléon en 1801, Mauléon-Barousse en 1806), Anla, Antichan, Aveux, Bertren, Bramobaquo (Bramevaque en 1793), Cazarilh, Crechex, Esbareich, Ferrère, Gaudent, Gembrie, Ilheu, Izaourt, Luscan (rattaché à Lourde de l'an IV à l'an VIII), Ourde, Sacoué, Sainte-Marie, Saléchan, Samaran, Samuran, Sarp, Siradan, Sost, Tibiran, Jaunac (Tibiran-Jaunac, fusion en 1793) et Thèbe. (en Gascogne) comprenait : Castelnau (Castelnau-Magnoac en 1801, absorbe Haulon en 1805), Ariès, Espénan (Ariès-Espénan, fusion en 1858) , Arné, Barthe, Bazordan, Belbèze Betbèze. En 1801, Belpouy (Betpouy en 1801), Campuzan, Casterets, Caubous, Cizos, Devèze, Gaussan, Guizerix, Hachan, Haulon absorbé par Castelnau-Magnoac. En 1805, Lalanne-d'Astarac (Lalanne en 1793), Laran, Lassales, La Rocque (Larroque), Lepouy (Pouy en 1801), Monléon Monléon-Magnoac. En 1801, Monlong, Organ, Peiret, Saint-André (Peyret-Saint-André, fusion en 1793), Puntous, Réjaumond, Sabarros, Sarriac (Sariac-Magnoac en 1925), Tajan, Termes Thermes-Magnoac. En 1919, Vieuzos et Villemur. Les enclaves de la jugerie de Rivière-Verdun. De 1469 jusqu'à la Révolution, la jugerie de Rivière et la jugerie de Verdun furent réunies pour former la jugerie de Rivière-Verdun composée de nombreuses enclaves dans le comté du Comminges et les vicomtés dépendantes, la vicomté du Nébouzan, l'État des Quatre-Vallées et dans le duché de Gascogne. Ces enclaves étaient réparties de la frontière espagnole jusqu'au sud de Montauban, entre la Gascogne, le Languedoc, la Bigorre et le Nébouzan. Seules, ici, sont indiquées les douze enclaves sur vingt-huit!Dans le comté de Comminges et les vicomtés dépendantes. Dans le bas Comminges, et ce jusqu'à la Révolution, la jugerie avait de nombreux territoires enclavés dans le comté de Comminges.
L'enclave d'Alan avec : Alan, Le Frechet, Arnaud-Guilhem, La Fite (Lafitte-Toupière en 1793), Montaut et Cazeneuve (Cazeneuve-Montaut en 1825). L'enclave de Saint-Frajou avec : Saint-Frajou, Fabas et Martignan (rattaché à Fabas en l'an IV).
L'enclave de Boulogne avec : Boulogne (Boulogne-sur-Gesse en 1958), Lilhette-Toupière (fusion avec Boulogne-sur-Gesse en 1790), Saint-Pé-d'Elbosc et Lalanne-Arqué. L'enclave de Savignac-del-Rey (Savignac-Mona en 1801). L'enclave de Cadeilhan avec : Cadeilhan (Cadeillan en 1801) et La Barthe (Labarthe). L'enclave de Saint-Lys avec : Saint-Lis (Saint-Lys), Auradé (absorbe Goujon en 1827), Beaufort, Blanquefort (a disparu), Bonrepos-de-Sainte-Foy (Bonrepos-sur-Aussonelle en 1929), Fonsorbes, Forgues, Frouzins, Cambernat (Cambernard), Goudourvielle (absorbé par Lias en 1827), Goujon (absorbé par Auradé en 1827), La Masquère (Lamasquère en 1801), La Salvetat-de-Sainte-Foy (absorbé par Sainte-Foy-de-Peyrolières avant 1790), Saint-Clar (Saint-Clar-de-Rivière en 1936), Sainte-Foy (Sainte-Foy-de-Peyrolières en 1929, absorbe La Salvetat-de-Sainte-Foy avant 1790) et Seisses-Tolosane ou Seisses (Seysses en 1793). L'enclave de Rieumes avec : Rieumes (absorbe Lespérès en 1836), Forgues, Le Lherm (Lherm) et Sajas.
Dans le haut Comminges, ces territoires, composés de plusieurs enclaves entre la Gascogne, le Languedoc et le Comminges provenant de la jugerie de Rivière, comprenaient. L'enclave de Génos avec : Génos, Adervielle, Pouchergues (Adervielle-Pouchergues, fusion en 1987), Aranvielle, Armenteule, Avajan, Bareilles, Billère, Castillon (Castillon-de-Larboust en 1801), Cathervielle, Cazeaux (Cazeaux-de-Larboust en 1801), Cazaux-Debat, Cazaux-Dessus (Cazaux, fusion en 1793), Fréchet (Cazaux-Fréchet, fusion en 1806), Anéran, Camors (Cazaux-Frechet-Anéran-Camors, fusion en 1978), Estarvielle (absorbe Garin en 1794), Garin (absorbe Saint-Tritous en 1793, absorbé par Estarvielle en 1794), Germ, Gouaux (absorbe Larboust en 1793, devient Gouaux-de-Larboust en 1801), Ilhan, Jurvielle, Larboust (absorbé par Gouaux en 1793), Loudenvielle, Loudervielle, Mont, Oô, Portet (Portet-de-Luchon en 1801), Poubeau, Saint-Aventin, Saint-Calix, Saint-Tritous (absorbé par Garin en 1793), Trébons (Trébons-de-Luchon en 1929) et Vielle (Vielle-Louron en 1801).
L'enclave de Saint-Béat avec : Saint-Béat (seule la partie gauche de la paroisse séparée de la partie droite par la Garonne) et Arlos. L'enclave de Saint-Bertrand avec : Saint-Bertrand (Saint-Bertrand-de-Comminges en 1958, absorbe Saint-Just en 1793), Loures (Loures-Barrousse en 1883), Saint-Just (absorbé par Saint-Bertrand-de-Comminges en 1793) et Valcabrère. L'enclave de Montréjeau avec : Montréjeau (se sépare de Les Toureilles en 1875), Anère, Bordes (Bordes-de-Rivière en 1921), Gazave, Izaux, Lombrès, Montsérié, Montoussé, Nestier, Poullat (Ponlat en 1801), Taillebourg (Ponlat-Taillebourg, fusion en 1793), Montégut, Saint-Paul, Les Toureilles (séparé de Montréjeau en 1875). Le diocèse civil languedocien du petit Comminges.
Ce diocèse civil faisait partie des diocèses civils du Languedoc. Il était composé de onze paroisses réparties dans quatre enclaves dispersées dans le bas et haut Comminges, le long de la Garonne et près de la frontière espagnole (val d'Aran). L'enclave de Valentine avec : Valentine, Cier-de-Rivière, Huos, Martres (Martres-de-Rivière en 1929) et Pointis-de-Rivière. L'enclave de Mazères avec : Mazères ou Mazerettes (Mazères-sur-Salat en 1958) et Montsaunès. L'enclave de Saint-Pé-d'Ardet avec : Saint-Pé-Dardet (Saint-Pé-d'Ardet en 1801). L'enclave de Saint-Béat avec : Saint-Béat (seule la partie droite de la commune, séparée par la Garonne de la partie gauche, en faisait partie), Argut-Dessus (qui a fusionné en 1974 avec Boutx) et Melles. Les enclaves languedociennes du diocèse civil de Toulouse. Ces quatre enclaves se trouvaient dans le Couserans et dépendaient du diocèse civil de Toulouse, un des diocèses civils du Languedoc. L'enclave de Rimont au nord du Couserans dans la chatellenie de Saint-Girons. L'enclave de Sor au centre du Couserans dans la châtellenie de Castillon (Castillon-en-Couserans).L'enclave de Seix, au sud du Couserans, à la frontière espagnole, dans la châtellenie de Castillon (Castillon-en-Couserans). L'enclave d'Alzein avec : Alzen (Alzein), Nescus et Larbont, entre le Couserans et le comté de Foix. L'item "AFFICHE ORIGINALE CIRCUIT SAINT GAUDENS COMMINGES 5 AOUT 1951 COURSE AUTO MOTO" est en vente depuis le mardi 1 décembre 2020. Il est dans la catégorie "Collections\Calendriers, tickets, affiches\Affiches pub\ anciennes".
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