Dans toute la France du 17mars au 11 octobre. Camions UNIC SHELL BERRE FRUEHAUF SIMCA freins WESTINGHOUSE DUNLOP. Samedi 25 et Dim 26 juillet. Terrain du Pré aux Moines. Pour la sauvegarde de vos affiches.
(exemples photos de notre travail et devis sur demande). Les épreuves du Championnat national des Chauffeurs Routiers en 1957 avec ce magnifique Unic Izoard. Les Champions, sur le capot de l'Unic Izoard qui ont gagnés les Coupes en 1957...
Jacky Coin des Trps ATA a connu ses deux personnes gagnants la finale des Chauffeurs Routiers, ils s'appelaient celui de gauche Jacques Leclerc et à droite Paul Teil, cela se passait le 6 octobre 1957, devant le Château de Versailles. UNIC au Salon de l'Automobile de Paris en 1905. Unic était un constructeur français de voitures de tourisme et de camions.
Unic a également produit des autocars. Malgré le succès rencontré sur le marché français (il n'y avait quasiment aucun produit exporté à cette époque), la société UNIC doit son équilibre financier aux bons vouloirs du baron Henri de Rothschild. Survient alors que le redressement indispensable après les dommages causés par la Seconde Guerre mondiale. Aurait nécessité de lourds investissements. Fragilisé comme ses concurrents français Saurer France.La direction d'Unic doit se résoudre à céder la société. Unic est racheté, tout comme Saurer France et Talbot en 1952. Qui a toujours été soutenu financièrement par la famille Agnelli. Sera ensuite intégré dans Fiat V.
Puis dans le groupe Iveco. Lors de sa création en 1975. La marque commerciale disparait en 1984.Qui assurait la fabrication depuis 1975. Des véhicules spécifiques Unic et des modèles Fiat.
Pour le marché français sera transformée en magasin de pièces de rechange à la suite du rejet de la participation d'Iveco. Unic à un appel d'offres. Car celle-ci ne souhaitait pas de moteurs. (Fiat) produits à l'étranger sur ses camions. Réclame de 1923 L'Illustration. Georges Richard commença par fabriquer des bicyclettes. Salon du Cycle, Georges Richard expose une voiturette baptisée "Poney" mue par un moteur Benz de 3,5 Ch. Elle sera produite jusqu'en 1902 sous les carrosseries les plus variées, comme cela était de coutume à l'époque. Georges Richard se passionne pour les courses de voitures. En 1898 il participe à Marseille-Nice qu'il remporte dans la catégorie voiturette. En 1900, la société devient "Sté des Anciens Etablissements Georges Richard".Peu après, un jeune et brillant ingénieur fait son apparition : Henri Brasier. Une nouvelle voiture de course de 14 Ch est présentée. En 1903, Georges Richard prend le départ de la course Paris-Madrid. Marcel Renault y perdra la vie à la suite d'une sortie de route et Georges Richard sera gravement blessé quand sa voiture se retournera dans un fossé.
À la suite d'une rencontre avec le baron. Georges Richard obtint les fonds nécessaires pour fonder à Puteaux. La société anonyme "Georges Richard & Cie". Le but était de construire des véhicules simples et fiables, de cylindrée moyenne pour toucher une très large clientèle.
Les véhicules ne devant pas être que des automobiles particulières mais aussi des utilitaires, c'est ce qui donnera l'idée de la marque Unic. La construction de la première usine, quai National à Puteaux est lancée. Afin de fabriquer des véhicules. « Unique » pour différentes utilisations. Au début, l'entreprise ne fabriqua que des voitures.
Tous les modèles recevront des organes communs sous un même capot radiateur, allumage, carburation, boîte de vitesses... Un avant goût de la rationalisation des productions! La gamme s'étoffe rapidement et compte pas moins de 4 modèles en 1918. Une importante commande de châssis 16/20 HP carrossés en taxis est passée par la Principauté de Monaco. Ce modèle sera aussi vendu à 417 exemplaires à Londres. La firme introduit un camion de 3 tonnes. Le fondateur de la marque Unic, Georges Richard, meurt à Rouen. C'est son principal collaborateur, Georges Dubois qui lui succède à la tête de la société. La demande de véhicules utilitaire s'accroit fortement.Unic présente au salon de l'automobile. Son premier gros moteur diesel. C'est un moteur Mercedes OM5, 6 cylindres en ligne de 90 Ch fabriqué dans l'usine de Puteaux sous licence.
La firme inaugure un modèle de camion, le CD3 , un porteur six-roues à capot. Propulsé par un moteur diesel Mercedes-Benz.Il est construit sous licence par Diesel Rapides qui a l'exclusivité pour la France et vendu sous le nom de Codra. Unic est le premier constructeur français à présenter une gamme complète de véhicules industriels de. Pour des raisons financières propre à ces temps de crise déjà!
, la production en série n'a pas lieu chez Citroën mais chez Unic qui a, entre temps, acheté la licence. Près de 3.300 exemplaires de chenillettes et tracteurs d'artillerie seront produits jusqu'au début du conflit armé.Les camions U4D et U6C sont lancés. Une nouvelle série de camionnettes est lancée, la série "S".
Elle restera en fabrication jusqu'en 1939. Ce sera la dernière production de camionnettes de la marque qui se consacrera ensuite uniquement aux camions. Unic fabrique son propre moteur diesel, un 6 cylindres de. Très étroitement dérivé du moteur Mercedes. Unic abandonne la fabrication des automobiles de tourisme pour se consacrer exclusivement aux camions et véhicules industriels.
En 1940, Unic propose un intéressant véhicule à chenilles qui ne sera produit qu'à 236 exemplaires. Il n'en existe plus aucun exemplaire existant de nos jours. Camion Unic équipé d'un gazogène. Pendant la Seconde Guerre mondiale. Le gouvernement français décide de regrouper les industriels du secteur automobile pour mieux répartir les matières premières contingentées devenues rares et sauver ce qui peut l'être encore. Les sociétés "Camions Bernard", Delahaye. Feront partie du Groupement Français de l'Automobile - GFA. Qui sera démantelé en 1951. Durant cette période, des liens étroits seront noués entre Unic, Simca et Delahaye. Unic lance les camions à capot de la série ZU.La cabine arrière recevra quatre projecteurs intégrés dans les ailes avant en 1955. Sur la série Vosges de petit tonnage. En 1947, le baron Henri de Rotschild décède.
L'année suivante, Georges Dubois décède à son tour. C'est René Copin qui prend la direction de la société. En pleine crise financière et technologique, il fait appel à Henri Théodore Pigozzi. Qu'il avait bien connu au GPA. Qui participe à une grosse augmentation de capital pour financer la construction de nouveaux ateliers et l'achat de machines outils.Unic est racheté par Simca. Et constitue la branche poids lourds. De la prochaine Simca Industries.
Un camion à capot est introduit avec la nouvelle cabine Longchamp entièrement métallique d'abord appelée Etrave ou Equipage. Le ZU 100 possède un moteur 6 cylindres de. Avec une boîte de vitesses. Ce modèle est disponible en configuration 4x2 porteur et tracteur. En fin d'année 1955, une nouvelle fait grand bruit. Les petits constructeurs de camions Renault, Somua et Latil fusionnent pour donner naissance à Saviem. Unic se trouve ainsi repoussé à la. Place dans le classement des constructeurs français. Unic absorbe la filiale française des camions Saurer. La cabine Longchamp reçoit un nouveau pare-chocs renforcé, équipé d'une calandre en deux parties avec quatre projecteurs. Et un marquage latéral qui rend officiel la « série des cols. Une version Unic du Simca Cargo.À quatre projecteurs est fabriquée et motorisée par la marque, parallèlement au Simca. Unic Vosges, la cabine Auteuil. À partir du printemps 1960.
Les nouveaux Vosges reçoivent la cabine semi-avancée Saint-Cloud issue des Fiat C40. Ou la cabine avancée Auteuil fabriquée par le carrossier Genève. La boîte de vitesses est synchronisée. Pour étoffer sa gamme, Unic distribue les camions de la marque italienne. Et une partie de la gamme Fiat V.
Notamment les Fiat 615 N1. Très vite Unic deviendra importateur de toute la gamme des camions Fiat en France. La cabine avancée large Vincennes est lancée dans la gamme haute. La position du moteur est reculé et le capot est plongeant sur la cabine semi-avancée Longchamp tandis qu'un groupe propulseur à 5 cylindres apparaît. Unic est l'un des premiers constructeurs à lancer un moteur V8. Unic devient la division véhicules industriels de Fiat. En conséquence, les réseaux Unic-OM et Fiat. En 1966, les cabines avancées Auteuil et Vincennes deviennent basculantes pour mieux accéder à la mécanique. Les modèles Vosges reçoivent le moteur OM.À moteur V 85 S de. Celle-ci rendue basculante remplace le modèle Vincennes. Les dernières cabines d'origine Unic disparaissent en 1974. Fabrique des moteurs pour les camions Unic.
Après 68 ans de production à Puteaux. L'usine est délocalisée, les véhicules sont fabriqués à Trappes. En collaboration étroite avec Fiat. Unic contribue à la dimension internationale du groupe Fiat. Aux côtés de Fiat V. La raison sociale devient Unic-Fiat S. Et le logo sur les calandres reprend les lettres inclinées des modèles Fiat. Unic figure en lettre argent sur fond noir tandis que Fiat est en lettres noires sur fond argent. En 1974, larmée de Terre française envoie un cahier des charges aux deux principaux constructeurs de poids-lourds français afin de réaliser un camion tout terrain capable de transporter quatre tonnes de charge utile, avec à la clé, un contrat portant sur plus de 15.000 unités. Berliet et Saviem sont sollicités. Unic demande également à pouvoir participer à cet appel d'offres puisque lentreprise est une société française qui, sous la marque Simca, a déjà été un fournisseur apprécié des armées avec les Simca Cargo. Le besoin de l'armée de terre était de remplacer les "Simca Cargo"!Les services centraux de l'armée, pressés par le gouvernement de l'époque, hésitent beaucoup à ajouter Unic à la liste des candidats. Des bruits insistants courent pour que lEtat-Major refuse ce véhicule pour deux raisons. Le moteur Diesel qui équipe le XU 4×4. Unic est une filiale du groupe Italien Fiat. Il fallait surtout protéger les intérêts nationaux et sassurer que toutes les pièces de rechange seraient fabriquées en France, le nationalisme étant encore très marqué à cette époque.
Officieusement et à ce titre, la candidature d'Unic aurait pu être rejetée. Officiellement, Unic sera admis à présenter une offre (que le gouvernement avait refusée d'avance) après que le constructeur ait fait valoir que, certes le moteur vient d'Italie, mais le camion est fabriqué en France, à Trappes, comme des dizaines de milliers de camions Unic chaque année. Lexclusion pilotée d'Unic à cet appel d'offres, confirmée quasi officiellement, sera très lourd de conséquences.Décidera de replier toutes les productions de camions en Italie et une partie des usines françaises du constructeur seront transformées en magasin de pièces de rechange. (I ndustrial VE hicles CO rporation) regroupe les marques Fiat V. Seul le logo I d'Iveco apparait discrètement sur les calandres. Le nom Iveco apparaît en entier à l'avant des camions, celui d'Unic subsiste jusqu'en 1984. La marque Unic n'apparait plus sur aucune calandre de camion.
Cliquez sur une vignette pour lagrandir. Autocar d'excursion UNIC 1937 L20. Depuis le début, les autocars Unic étaient basés, comme tous ses concurrents, sur des châssis de camions adaptés. Dans un premier temps ce n'étaient que des carrosseries pour le transport de personnes puis, les châssis furent modifiés et abaissés. Les derniers châssis Unic pour autocars sortent de l'usine de Puteaux en 1955.La marque est passée dans le giron de Fiat V. Ce sont désormais des châssis Fiat. Qui serviront de base aux nouveaux modèles Unic.
Les carrossiers indépendants ont été sévèrement pénalisés par la généralisation des châssis d'autocars à caisse-poutre livrés complètement finis par les constructeurs français Berliet. Les utilisateurs leur reprochait la rigidité de leurs réalisation qui ne pouvait répondre aux besoins spécifiques des transporteurs. C'est ainsi que le carrossier français Gandolff persuade M. Pigozzi qu'il lui fallait assurer la succession des fameux autocars "Saurer".
À partir de janvier 1960, "Unic" confie à sa filiale Someca. L'importation des châssis OM. La gamme "OM" est riche et très moderne car elle bénéficie d'une nouvelle conception. Les châssis sont équipés de moteurs "Fiat-OM" à injection directe. La gamme proposée est la suivante.60 à 2 200 tr/min. 75 à 2 400 tr/min. 80 à 2 400 tr/min. 170 à 2 200 tr/min. 230 à 2 200 tr/min.
Ce n'est que le. Mai 1968 qu'Unic devient importateur direct des châssis d'autocars et autobus Fiat-OM. Les opérateurs apprécient les qualités des autocars Unic sur châssis OM : agrément de conduite, sécurité, fiabilité et brio de la mécanique. Ces qualités sont remarquées par le carrossier charentais Heuliez.
Carrossier partenaire de OM en France. Heuliez réalisera une version grand tourisme sur un châssis "Leoncino" destiné à l'origine pour équiper le châssis Citroën 350. À partir de 1966, Fiat présente le châssis Fiat 343.
En 1971 son modèle de série usine, comme en Italie. Les carrosseries réalisées en France sont dues aux carrossiers "Amiot" et "Heuliez" notamment. Tous les autocars Fiat italiens sont commercialisés en France sous la marque Unic. En 1976, Unic présente le Fiat 370. Sous sa propre marque pour ne pas heurter les collectivités locales avec une marque étrangère qui n'aurait aucune chance de remporter un marché.Le dernier autocar Unic sera le Lorraine. Conçu à la fin des années 1970 et commercialisé en mai 1981. La direction du groupe Iveco. Profite du regroupement de Saviem. Pour recruter des cadres transfuges de "Berliet".
Après le demi échec de franciser le Fiat 343. En lui greffant une carrosserie française, Unic récupère le modèle-phare du géant turinois : le Fiat 370. Lancé en 1976 et très répandu en Italie et en Allemagne sous le label Magirus 2000. Pour créer le dernier modèle de la marque, le "Lorraine". Conçu spécifiquement pour le marché français, le châssis Fiat-Iveco est habillé d'une coque retouchée à l'avant, plus arrondie et aérodynamique, par rapport à la version originale italienne, due à l'intervention de la CIMT2.
Comme sur le Fiat 370, elle fait appel, à divers niveaux, à des éléments en aluminium et polyester. La carrière du "Lorraine" prend fin en 1993, remplacé par l'Iveco 380.
Qui sera commercialisé avec le logo Iveco. Assemblage des camions de la gamme basse jusqu'en 1973.
Assemblage des camions de la gamme moyenne. Assemblage des camions de la gamme haute. Les Relais routiers sont un type de restaurant.
Des restaurants font partie de cette chaîne depuis 1934 à l'initiative de François de Saulieu. Décident de créer le journal.Puis les Relais routiers afin que les camionneurs puissent lire leur journal pendant leur pause. En 1934, François de Saulieu fait un reportage sur la vie des routiers, mot qui ne figure pas dans le. De 1934, le conducteur de camion se nomme alors « roulier » ou « camionneur ». Les Relais routiers sont créés, avec pour symbole, le panonceau Bleu et Rouge.
Ces établissements deviennent les arrêts privilégiés des camionneurs. En 1937, le journaliste publie La route facile , le premier guide des Relais routiers en format de poche qui répertorie les adhérents de la Chaîne. Chaque année, une nouvelle édition est publiée. Les journaux lui consacrent des articles. On le surnomme le « Guide rouge » de la restauration.
À la veille de 1939, il y a à peu près deux mille Relais routiers. Durant la Seconde Guerre mondiale et sous loccupation, leurs patrons participent à des actions de résistance. Des chauffeurs routiers font passer des résistants en zone libre. Fin 1947, la Chaîne des Relais routiers est reconstruite et retrouve, comme avant guerre, ses deux mille établissements. Dix ans plus tard, il y a quatre mille Relais, dont le plus élevé se trouve au col du Tizi N'Test. À 2 100 m daltitude. Ce chiffre restera stable pendant plusieurs années. Tous les ans, 10 à 15 % des établissements perdent le panonceau Bleu et Rouge pour navoir pas respecté les règles quimpose la Chaîne, « bon accueil, qualité irréprochable et prix en rapport ».Des inspecteurs (au début, des chauffeurs routiers bénévoles) sillonnent la France et une partie de lEurope pour veiller à ce que les Relais respectent les règles. Le premier relais sur autoroute sera créé en 1974 ; il y en aura onze en France et un en Belgique dès 1975.
À lépoque, ils servent un repas à 15 francs. En 2014, le Guide des Relais routiers fête ses 80 ans, le tirage papier est de 15 000 exemplaires. Le guide donne diverses informations sur les restaurants recommandés telles que adresse, horaire, capacité du parking et disponibilité d'une connexion wifi. Jusqu'aux années années 80, les restos affiliés à ce guide se devaient d'avoir un parking PL, des douches, et servir des repas midi et soirs aux conducteurs routiers.S'ils ne répondaient pas à ces critères, ils ne pouvaient pas arborer ce logo bleu et rouge "Les routiers". De nos jours, ce n'est plus une obligation. Il suffit juste que le restaurant paye une cotisation annuelle pour pouvoir avoir ce logo. La preuve en est en plein cur de Paris : Un restaurant estampillé "Les routiers" avec ce logo est toujours en service mais il n'y a pas de douches ni parking PL donc, inaccessible en camion. Mais ce logo reste une référence pour les touristes.
Depuis 1965, la clientèle des Relais se diversifie. Les touristes sont de plus en plus nombreux. Comme le déclare un journaliste américain, Rudi Shelmensky. « Les Relais routiers sont à montrer aux musées des traditions populaires au même titre que les Châteaux de la Loire ».
La chaîne décide alors de créer la distinction « La Casserole » à l'instar des étoiles du guide Michelin. Pour les établissements qui font des efforts gastronomiques particuliers. L'item "AFFICHE ORIGINALE CHAMPIONNAT LES relais ROUTIERS REIMS CAMION UNIC IZOARD 1957" est en vente depuis le mardi 21 mars 2017. Il est dans la catégorie "Collections\Calendriers, tickets, affiches\Affiches pub\ anciennes". Le vendeur est "buybuyzoe" et est localisé à/en Atelier Affiche Moulin port Salomon DAMIATTE. Cet article peut être livré partout dans le monde.