AFFICHE CYCLE 1946 JOURNAL L'Humanité Course vélo PARIS MONTCEAU les MINES

AFFICHE CYCLE 1946 JOURNAL L'Humanité Course vélo PARIS MONTCEAU les MINES
AFFICHE CYCLE 1946 JOURNAL L'Humanité Course vélo PARIS MONTCEAU les MINES
AFFICHE CYCLE 1946 JOURNAL L'Humanité Course vélo PARIS MONTCEAU les MINES
AFFICHE CYCLE 1946 JOURNAL L'Humanité Course vélo PARIS MONTCEAU les MINES
AFFICHE CYCLE 1946 JOURNAL L'Humanité Course vélo PARIS MONTCEAU les MINES

Pas de copie - pas de repro. MODELE D'AFFICHE TRES RARE - VERY RARE POSTER. COULEURS TRES VIVES pour 1898. Journal L'Huma, L'Humanité. 80 CM X 60 CM.

(+ 4 cm d'entoilage idéal pour encadrement ou punaises). (4 cm linen backing margin for framing). Entoilée par nos soins, quelques restaurations. (on linen, linen backed in our own studio, few restaurations). Il est écrit sur l'affiche.

Syndicat d'éclairage & forces motrices. MONTCEAU LES MINES et région. 7 H :carrefour POMPADOUR à CHOISY LE ROI. Chaque jours lisez L'Humanité.

Porte parole de la renaissance Française. Vous pouvez nous contacter pour la sauvegarde de vos affiches. (exemples photos de notre travail et devis sur demande). Une de la première édition de L'Humanité le 18 avril 1904. (il y a 117 ans). Société nouvelle du journal l'Humanité. L'Humanité est un quotidien. Fondé en 1904 par Jean Jaurès.

Est liée dès ses débuts à la gauche. En tant qu'organe de la Section française de l'Internationale ouvrière.

Parti de son fondateur, le journal devient communiste. À l'issue du congrès de Tours. Il est alors l'organe officiel du Parti communiste français. Aujourd'hui, il en reste très proche bien que la rédaction ouvre ses pages à d'autres composantes de la gauche. Le journal est édité par la Société nouvelle du journal l'Humanité.

Présidée par Jean-Louis Frostin et Patrick Le Hyaric. Ce dernier étant aussi le directeur de la publication. Comme de nombreux titres de la presse écrite française, le journal bénéficie de subventions. La naissance du quotidien socialiste L'Humanité (1904).

Lucien Herr (en haut) et Lucien Lévy-Bruhl (en bas), deux figures de la fondation de L'Humanité. Sur les conseils de Lucien Herr. Jean Jaurès tente dans un premier temps de racheter La Petite République. Où il a cessé d'écrire en décembre 1903, tentative qui échoue en janvier 1904 à la suite du refus du dirigeant Alfred Léon Gérault-Richard. Et donne lieu à la volonté de créer un nouveau journal. Celui-ci prendra le nom de L'Humanité sur une idée de Lucien Herr. Camarade normalien de Jaurès, pionnier du socialisme et rédacteur des pages internationales.

Rallié au socialisme par l' affaire Dreyfus. Et ami très proche de Lucien Herr et Jean Jaurès, pourvoit une grande partie des fonds. Le reste des fonds provient du publiciste Léon Picard (deuxième principal actionnaire après Lévy-Bruhl), des frères Louis-Dreyfus.

Et Albert Lévy-Brahm, inspecteur des écoles : on trouve ainsi des hommes d'affaires ou des personnalités israélites reconnaissantes à Jaurès de son action en faveur de Dreyfus. Des journalistes y contribuent aussi dont Francis de Pressensé.

Outre Jean Jaurès et Lucien Herr. Une société par actions est constituée, dont la première assemblée générale se tient chez Jean Jaurès le 6 avril 1904 : un conseil d'administration de trois membres est formé, constitué par Lucien Herr, Gustave Rouanet (élu président et administrateur délégué) et l'éditeur H. Casevitz, tous trois amis personnels de Jaurès. Le capital de la société est de 880 000 francs, répartis en 880 actions dont la moitié sont attribuées à Jaurès, directeur politique.

À l'instigation notamment d' Urbain Gohier. La presse antisémite ainsi que La Guerre sociale (titre de droite) dénoncent un journal créé grâce à « l'argent juif » et répand la rumeur selon laquelle les Rothschild. Le premier numéro de L'Humanité paraît le lundi. Journal de quatre pages vendu cinq centimes et tiré à 130 000 exemplaires.

Explique que ce nouveau quotidien socialiste qui a alors comme sous-titre de la manchette « Journal socialiste quotidien ». Doit être dans un premier temps un outil pour l'unification du mouvement socialiste français et, par la suite, un des leviers de la lutte révolutionnaire contre le capitalisme. La rédaction s'installe 110, rue de Richelieu. Dans le quartier de la presse, puis, en raison du loyer excessif, 27, rue du Croissant. Lors du passage aux six pages, au 142, rue Montmartre. Dans son premier éditorial intitulé « Notre but », Jaurès souhaite fixer deux règles de fonctionnement à son nouveau journal : la recherche d' information étendue et exacte pour donner. « à toutes les intelligences libres le moyen de comprendre et de juger elles-mêmes les événements du monde ». Jean Jaurès lisant L'Humanité. Extrait d'une caricature de L'Humanité publiée le. Montrant le sénateur radical Clemenceau.

Et le président de la République Poincaré. Réconciliés dans un soutien commun à la loi des Trois ans. Lors de sa naissance en 1904. L'Humanité ne représente qu'une partie du mouvement socialiste français.

Au sein de sa rédaction figurent notamment René Viviani. Michel Zevaco et Albert Thomas. Une de L'Humanité du. Consacrée aux « mouchards » supposés utilisés par la police de Clemenceau.

Lors de la grève de Draveil-Villeneuve-Saint-Georges. L'unification des socialistes français au sein de la SFIO. En 1905 ouvre le journal à l'ensemble du mouvement socialiste français notamment aux guesdistes. Fait de L'Humanité son organe officiel lors du congrès de Saint-Quentin. Dans le contexte international de plus en plus tendu du début du.

Siècle, le journal de Jaurès défend résolument des positions pacifistes. En accord avec l' internationalisme. Le journal est également très présent dans le combat pour la laïcité. Et se veut le défenseur de la classe ouvrière. Ces dix premières années sont difficiles économiquement pour le journal.

Après un lancement réussi à 140 000 exemplaires, le journal tombe à 15 000 exemplaires en 1905. Il remonte ensuite lentement avec 80 000 exemplaires en 1912. Durant l'été 1914, la vie du journal est totalement bouleversée par deux événements.

L' assassinat de son directeur Jean Jaurès. Par le nationaliste Raoul Villain. Au café du Croissant le. Le déclenchement de la Première Guerre mondiale.

Le déclenchement de la guerre, la mort de Jean Jaurès. Et le ralliement de la majorité des dirigeants socialistes français à l' Union sacrée.

Transforment brutalement le journal durant l'été 1914, qui tire à cette époque à environ 100 000 exemplaires, contre 50 000 pour La Guerre sociale. Succède à Jaurès et choisit une ligne éditoriale favorable à la guerre au nom de la défense de la République. Selon l'historien Alexandre Courban, le journal se trouve alors pris sous une triple contrainte. Contrainte étatique avec la censure.

Contrainte partisane (les socialistes majoritaires favorables à la guerre imposent leur ligne). Contrainte économique du fait du rationnement. « Tu es sûr que ce n'est pas un embusqué? », L'Humanité du 6 décembre 1915. Au cours de cette période, L'Humanité participe à l'Union sacrée et informe, par exemple, ses lecteurs des atrocités commises par l'armée allemande sur la population civile de la Belgique et des régions du Nord de la France mais sur un ton mesuré et objectif : le journal ne s'associe pas au bourrage de crâne.

De la majorité de la grande presse et en dénonce les outrances autant que le permettent les contraintes de la censure. Proteste contre ceux qui annoncent les Russes à 450. Soit cinq étapes pour parvenir à Berlin une marche quotidienne de 90. Pour une armée de fantassins à pied! Par ailleurs, L'Humanité s'oppose à la chasse aux embusqués.

Répandue dans les colonnes des principaux journaux et défend la mobilisation industrielle, ainsi dans un article de février 1915. « la question des embusqués n'est qu'un fragment d'un problème bien plus étendu et bien plus haut : l'aménagement des forces de la France pour le maximum de rendement en vue de la Défense nationale.

Et dans un autre article de Louis Delbreuilh. « C'est une guerre de matériel, c'est une guerre de munitions. Deux armées doivent collaborer pour vaincre les Allemands : les soldats sur les champs de bataille et les ouvriers sur les champs de travail ». Est remplacé à la tête de L'Humanité par Marcel Cachin.

Ce changement traduit la prise de distance croissante des socialistes avec l' Union sacrée. Le correspondant de L'Humanité à Pétrograd. Certains articles, assez critiques au sujet des bolcheviks. N'étaient pas publiés par le journal. Député de la Seine, rédacteur en chef de l'Humanité. Fête de l'Humanité 1937, Garches. Verso de carte postale imprimé avec un simili timbre « Marcel Cachin. Carte éditée par le Comité de défense de l'Humanité, « pour une presse libre et propre ». L'année 1920 est un nouveau tournant pour L'Humanité. En effet lors du Congrès de Tours. Les deux tiers des délégués votent l'adhésion à l' Internationale communiste. Transformant la SFIO en « Section française de l'Internationale communiste » plus tard Parti communiste. Le journal suit la majorité et devient donc l'organe officiel de la jeune SFIC. Durant cette période, la ligne éditoriale du journal suit la ligne politique du PC. La stalinisation du parti entraîne le départ de plusieurs plumes de L'Humanité, comme Alfred Rosmer.

Dans les années 1920, le journal mène une intense campagne contre la guerre du Rif. Sous sa direction dans les années 1930, le journal dépasse les 300 000 exemplaires notamment au début du Front populaire.

L'Humanité insiste alors sur l' antifascisme. Sur la défense de la République espagnole et prône le modèle de l' URSS. En tant qu'organe central du PCF, L'Humanité est à la fois un outil de mobilisation des militants et un journal d'information.

Une autre particularité de L'Humanité est la place que jouent les lecteurs dans la vie du journal. Ils sont souvent utilisés comme contributeurs (les rabcors, correspondants ouvriers) ou comme diffuseurs (au sein des CDH, comité de défense de L'Humanité). Pour répondre à ses besoins financiers, le journal crée en 1930 la Fête de l'Humanité. En 1937, son tirage atteint un pic de 350 000 exemplaires.

Créés à la fin des années 1920 en riposte à l'offensive du ministère Tardieu contre le PCF, les comités de défense de L'Humanité (CDH) devaient assurer la diffusion de L'Humanité puis de L'Humanité Dimanche par la vente directe de ces publications, le plus souvent dans la rue, ce qui évite les frais de messagerie. Constitués de militants ou de sympathisants communistes bénévoles, ces comités de défense deviennent des comités de diffusion de L'Humanité et existent encore au début du. Les CDH furent une occasion de vente militante dans la rue, sur les marchés mais aussi devant les églises, les casernes. Jusque vers 1960, la présence d'un militant vendant L'Humanité à l'entrée du métro est une figure familière des petits matins en banlieue et dans les quartiers populaires de Paris. En 1925, alors que le gouvernement cherche à faire invalider les élections de femmes au sein de conseils municipaux, L'Humanité prend vigoureusement position en faveur des droits politiques des femmes. « On applaudit vigoureusement cette nouvelle manifestation [.] en faveur du vote, de l'éligibilité et de l'émancipation des femmes.] Contrairement aux propos tendancieux de la presse bourgeoise, elles siègent régulièrement ; elles ont partout, ces jours-ci, participé à l'élection des maires, elles sont rentrées dans les commissions municipales. Le gouvernement et le Parlement sont en présence d'un fait accompli : par la volonté du suffrage universel, les femmes sont non seulement conseillères, mais officiers d'état civil. Interdit de parution L'Humanité après son approbation du Pacte germano-soviétique. Plus de 300 numéros sortent jusqu'en 1944, tantôt feuilles ronéotées, tantôt pages imprimées. L'été 1940, le journal ayant été interdit par le gouvernement Daladier. Des dirigeants communistes ont entamé des négociations ayant pour objectif la reparution officielle du journal. Avec les services allemands, essentiellement le lieutenant Weber de la PropagandaStaffel.

Une militante communiste, Denise Ginollin. Est chargée des premières négociations, Jacques Duclos. Celui-ci ne manque pas d'informer l'Internationale communiste de ces démarches et précise qu'elles ont été réalisées. « sans engager les dirigeants du Parti ».

Depuis Moscou, valide ces démarches ce qu'il niera par la suite. Une seconde négociation pour faire paraître le journal a lieu entre des cadres du PCF, notamment Maurice Tréand.

Qui les reçoit à l'ambassade d'Allemagne. Ces premiers s'engagent dans une lettre le même jour sur un certain nombre de promesses. « L'Humanité, publiée par nous, se fixerait pour tâche de dénoncer les agissements des agents de l'impérialisme britannique qui veulent entraîner les colonies françaises dans la guerre et d'appeler les peuples coloniaux à lutter pour leur indépendance contre leurs oppresseurs impérialistes ». Cette démarche auprès des autorités allemandes doit être replacée dans le cadre du pacte germano-soviètique de 1939.

Ainsi, on peut lire dans L'Humanité du. « Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s'entretenir avec les soldats allemands, soit dans la rue, soit au bistro du coin. Bravo camarades, continuez même si cela ne plaît pas à certains bourgeois aussi stupides que malfaisants!

La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante ». En dépit de ses engagements, les dirigeants communistes ne reçoivent pas d'autorisation officielle de parution et le journal va alors paraître clandestinement en ménageant les forces d'Occupation.

Les autorités de Vichy confirment l'interdiction de parution et l'occupation allemande oblige le journal à la clandestinité jusqu'à la Libération. De 1944 malgré la demande rejetée de reparution faite en juin 1940 auprès des autorités d'occupations allemandes.

Initiative désavouée par de nombreux militants puis par l'Internationale communiste, qui l'avait d'abord laissé faire. L'Humanité parait clandestinement pendant cinq ans 383 numéros diffusés à 200 000 exemplaires. Et s'abstient de s'en prendre aux Allemands jusqu'à.

(date de la fin des négociations). De nombreux journalistes de sa rédaction et personnels de la fabrication périrent dans la lutte contre l' occupant nazi.

Responsable de sa rubrique internationale, fusillé le. Le journal reparaît librement le.

Durant la Libération de Paris. On peut lire dans L'Humanité clandestine du. L'appel du PCF concernant la création du Front national de lutte pour la libération et l'indépendance de la France. « Le PCF s'adresse à tous ceux qui pensent français et veulent agir français. Dans ce Front national pour l'indépendance il y a de la place pour tous les Français sauf les capitulards et les traîtres au service de l'envahisseur, pour que la France soit la France et ne devienne pas une colonie nazie, l'unité nationale doit se faire...

Contre les envahisseurs et les traîtres, contre le gouvernement de Vichy qui obéit aux ordres des occupants allemands ». Au fur et à mesure de l'Occupation. L'Humanité devient de plus en plus dure avec les Allemands et avec le régime de Vichy. L'Humanité de 1944 à 1994. Carte des Comités de défense de l'Humanité 1945.

Après 1944, L'Humanité renoue avec la situation de l' entre-deux-guerres. Sa ligne éditoriale suit la ligne du parti et mêle information et campagne de mobilisation. Dans les anciens locaux du Petit Parisien.

Le journal partage à partir de 1947 son siège avec Ce soir. Au 37, rue du Louvre. Dans l'immeuble de l'ancien Paris-Soir. À partir de 1956 il s'installe avec Libération.

Dans les locaux de l'ancien journal Le Matin. Il y demeure jusqu'en 1989, date de son départ pour Saint-Denis. La une de l'édition spéciale de L'Humanité qui annonce la mort de Staline.

« Deuil pour tous les peuples qui expriment dans le plus grand recueillement leur amour pour le grand Staline ». Le journal consacre plusieurs pages à l'évènement produisant des articles de Jacques Duclos. L'éditorial de la Pravda. Et une page entière sous le titre.

« Staline, notre maître en socialisme ». En 1954, L'Humanité fête ses cinquante ans.

Cet anniversaire - qui a lieu en même temps que le. Donne lieu à un numéro spécial de Regards.

Et à la commande d'un film sur le journal, La terre fleurira. Dont la réalisation est confiée à Henri Aisner. Ce film comporte la « Valse de l'Huma » composée par Jean Wiéner.

Dans le contexte de guerre froide. Lorsque l'Armée rouge entre en Hongrie. « Budapest retrouve le sourire ».

Alors que la situation internationale est extrêmement tendue révélation du. Siècle : congrès du Parti communiste de l'Union soviétique. Sur le stalinisme, intervention soviétique en Hongrie.

Crise du canal de Suez. Le siège de L'Humanité (et du comité central du PCF) est attaqué par des manifestants anticommunistes.

Qui tentent de l'incendier. Devant l'inertie complaisante de la police déployée en nombre, le bâtiment est défendu par le personnel du journal et des militants du PCF. Ces attaques font trois morts. Dans son compte-rendu, L'Humanité fait un parallèle entre l'attaque contre son local et ce qu'elle appelle les crimes des « contre-révolutionnaires » de l' insurrection hongroise. De son côté, le Syndicat du Livre déclenche une grève : aucun journal ne paraît le 8 novembre.

Parallèlement, le journal est le seul quotidien français à soutenir partout dans le monde les luttes de libération nationale décolonisation. Ce qui lui vaut de nombreuses interdictions de parution notamment durant les guerres d' Indochine. Les articles de Madeleine Riffaud. Sur la guerre d'Algérie. Qui lui valurent une tentative d'attentat de l' OAS. Puis sur la guerre du Viêt Nam.

En 1973 et 1974, lors de la parution de L'Archipel du Goulag. L'Humanité se faisant le relais du PCF, organise une vaste campagne de calomnies afin de stigmatiser Soljénitsyne. Le présentant comme un réactionnaire ayant des sympathies pro-nazies.

Le quotidien communiste s'efforce alors de minorer le rôle des dissidents soulignant la liberté d'expression dont ceux-ci disposent en URSS. Et ses collègues tentent de minimiser l'impact subversif que représente la parution du livre et mettent en avant les dangers que représente cette critique pour l'union de la gauche. Qui soutient le dissident, est dénoncé comme étant. « à la pointe de l'entreprise antisoviétique et anticommuniste ». En 1945, le journal tire à 400 000 exemplaires et est la figure de proue de la presse communiste.

Sa diffusion décline ensuite (150 000 exemplaires en 1972, 107 000 exemplaires en 1986) parallèlement au déclin de l'influence du PCF. Et à la crise de la presse quotidienne. Liste des fabricants de bicyclettes. Cette liste des fabricants de bicyclettes liste toutes les entreprises. À quelques exceptions historiques près telles, en France, les « Ets Ravat » ou la « Manufacture française d'armes et cycles » jusqu'aux années 1950. , les fabricants de bicyclettes ne produisent pas eux-mêmes les pièces entrant dans la fabrication de leurs bicyclettes. Ces composants sont fabriqués par des entreprises spécialisées appelées fabricants d'équipements ou équipementiers du cycle.

Parmi les fabricants de bicyclettes, on distingue les constructeurs, qui produisent leurs propres cadres. En fort déclin en Europe depuis le milieu des années 1990. , et les monteurs, qui montent des bicyclettes sur des cadres produits par d'autres.

Les grands constructeurs français Peugeot. Possédaient chacun une usine, éventuellement deux, de quelques centaines d'ouvriers produisant plusieurs centaines de milliers de bicyclettes par an la production nationale dépassait les 2 millions d'unités aux meilleures années. Le plus grand industriel de l'époque, la Schwinn Bicycle Company. Produisait en 1972 quelque 1,45 million de vélos avec un effectif de 2 300 personnes. Le leader en 2009, Giant (Taïwan), possède huit usines d'où sortent plus de 5,6 millions d'unités par an (chiffres de 2009).

Certaines bicyclettes ne portent pas le nom de leur fabricant mais celui de la marque commerciale. C'est notamment le cas des vélos Riverside, Rockrider, Vitamin et b'Twin. Commercialisés par le groupe Décathlon.

(près d'un vélo sur deux vendus en France en 2009). On assiste à la renaissance de petites marques qui entendent relever le niveau global face aux productions de masse, en particulier dans les secteurs des vélos à pignons fixes.

Et dans la mouvance urbaine qui accompagne le retour de vélos plus élégants et stylés, comme les cruisers. Vélo acier fait sur mesure pour toutes tailles. Ancienne filiale « ATAG Cycle Group » du groupe néerlandais ATAG, renommée « Accell Group NV » en 1998. Elle a racheté les marques et fabricants de cycles suivants : « Batavus », « Hercules Fahrrad », « Ghost », « Koga-Miyata », « Lapierre », « Loekie », « Mercier », « Raleigh », « Sparta B.

», « Staiger », « Torker » et « Winora ». Possède également le fabricant d'agrès « Tunturi » (Finlande).

Distributeur de pièces et d'accessoires sous la marque XLC. Marque née au pied du Ventoux. Conception et assemblage de modèles VTT haut de gamme en carbone UD puis quelques modèles aluminium. Distribution et vente par correspondance.

Société fondée en 1880, fabricant de vélos, motos et voitures. La marque « Aiglon » est rachetée par Peugeot.

Elle a produit également des motocyclettes et des automobiles. Établissements des Cycles Allegro Arnold Grandjean S.

La société est fondée en 1914 par le cycliste Arnold Grandjean. Avec ses frères Ali, Ulysse et Tell et un autre compagnon. Elle est la première à fabriquer des vélos de course en Suisse.

Grandjean a choisi le nom Allegro parce que ses fans l'applaudissaient avec les mots « Allez, Gros ». Au début, les roues étaient construites dans un atelier à Fleurier. Déplacé en 1923 dans un bâtiment de production à Neuchâtel. La société existait indépendamment jusqu'à dans les années 1980. Elle a été vendue au fabricant de vélos « Mondia.

Aluminium - 36, avenue de Wagram. Paris ; marque créée par G. Marque née à Grenoble en 2013, conception et assemblage de vélos carbone ultra light.

Crescent - American Bicycle Company. American Bicycle Company - Chicago. American Cycle Manufacturing Company - New York. American Ormonde Cycle Company - New York, États-Unis. Fabricant spécialiste du vélo à cardan.

Entreprise fondée en 1989 par l'ex-olympien Gervais Rioux. Fabrication spécialisée de vélos de route. De vélos de contre-la-montre et de triathlon. Et de vélos de piste. ATAG Cycle Group - Pays-Bas, devenu « Accell Group NV.

Née d'une restructuration de la « Société de Construction Mécanique de la Loire », elle-même issue de la réunion de trois précurseurs de l'industrie de la pièce détachée à St-Étienne. À la fabrication de pièces (moyeux et pédales de vélos puis diverses pièces pour motos et voitures), elle a rapidement adjoint la construction de bicyclettes et de motocyclettes, dont elle fabriquait elle-même les principaux composants.

L'effectif était de 350 personnes en 1947, avec une production de l'ordre de 35 000 à 40 000 bicyclettes par an. Associée quelque temps à « Terrot » (Dijon), elle a été absorbée par Peugeot. 59 de l'avenue de Rochetaillée, a alors cessé la production de cycles mais elle a continué de produire des pièces et composants pour cyclomoteurs et automobiles sous le contrôle de Peugeot jusqu'à la fin des années 1990, puis sous celui de KSDSE (Koyo Steering Dijon & Saint-Étienne). Marques « JBB », « Royal-Fabric.

Vendue en 1931 aux frères Simon en Corrèze. 124 & 126 Rue La Fayette.

Fabricant de bicyclettes depuis 1917, c'est l'un des plus grands du pays. Aujourd'hui propriété du groupe « Accell ». Fabriquant de vélos électriques vintage. Constructeur de bicyclettes depuis les années 1920. Ses bicyclettes portent la marque BH.

Il possède également une usine au Portugal. A racheté Micmo-Gitane ainsi que la branche cycle de Peugeot.

Qu'il a revendu en 1996 au Suédois Grimaldi Industri AB. Vélos à transmission par cardan. Fabricant de vélos et d'équipements pour cyclistes. Montage de bicyclettes en petites séries et sur mesure.

Fabrication de cadres, de porte-bagages et de divers équipements (selles en cuir, sacoches, roues). Blanc & Gautard - Charenton. C'était le plus grand fabricant italien de bicyclettes. Il a produit également des motocyclettes. Bingham Cyclery, Inc - Salt Lake City.

Marque « Skandia » pour les pays scandinaves. Spécialisée dans les vélos sportifs haut de gamme pour la route et le VTT. Créée en 1908, rebaptisée Legnano (le nom de la ville natale de Bozzi). Fabricant de vélos pliants haut de gamme. Médaille d'argent à l' Exposition universelle de 1900. Marque « Envoy » et « Fleetwing ». (E erste N ederlandsche R ijwiel ou ENR) - Deventer.

Canada Cycle & Motor Co. Ltd - Canada, fondée en 1899. Fondé par Fred Hanstock en 1898.

Raleigh rachète la société en 1960. Carvin - au 135, rue d'Alésia. Vélos ou tandems sur mesure à cadre acier ou titane.

Chain Bike Corporation - Allentown. Fondé par le coureur professionnel Cino Cinelli. Fabricant de cadres depuis sa fondation en 1928, devenu constructeur à partir de 1942.

Ses effectifs s'élevaient en 1972 à 65 salariés pour une production annuelle de 42 000 unités. Dépôt de bilan en 1983. Sur la fin, approvisionnait essentiellement les grandes surfaces, sous les marques « Anquetil », « Geminiani » et « Olympic ». Fondé en 1878 par Adolphe Clément. Devient Clément-Gladiator par la fusion avec Gladiator. Fernand Clément et Cie - France.

Usine et bureaux au 130, rue du bois à Levallois-Perret. Vélo sans chaîne, Noricum, partenariat avec Puch. 6 place de la Madeleine. Marque fabricant des cadres en titane sur mesure.

Columbia, marque de Pope Manufacturing Company. Constructeur de bicyclettes à partir de 1893 (marque « Scheffer Frères »). Conti Milano - Conti Milano. Constructeur de vélos à assistance électrique haut de gamme.

Construction Générale des Cycles - Liège. Belgique, marque de Royal Nord. Fabricant de voiture(ette)s, motos et vélos. Crescent (qui signifie « route courbée ») ou American Crescent est une marque qui a été utilisée par. American Cycle Manufacturing Company, New York.

Stein & Brothers, New Braunfels. Constructeur de bicyclettes, logos et plaques, écussons corses. France, 9, Rue du Colonel Démange. Cette société conçoit et assemble des bicyclettes à assistance électrique. Les vélos sont distribués sous la marque Moustache Bikes. Fondée en 1991 par fusion de « Beistegui Hermanos » (BH, propriétaire à 65 %), Peugeot. En 1996, BH revend ses parts à Grimaldi Industri AB Suède. Et en 2004, la marque « Cycles Peugeot » est rendue à Peugeot.

L'ancienne usine Peugeot de Romilly-sur-Seine. Elle est actuellement présente dans quarante-sept pays à travers le monde et propriétaire des marques « Bianchi », « Crescent », « Den Beste Sykkel » (DBS), « Everton », « Micmo-Gitane », « Kildemoes », « Legnano », « Monark » et « Puch ». Distributeur de pièces et d'accessoires sous la marque « Spectra » (anciennement : marque de cadres). Fabricant de composants et de cycles électriques depuis 2006.

Depuis 2018, Cycles Sémaphore est le concepteur et assembleur du Sémaphore, un vélo artisanal rallongé (" longtail "). Fabrication de cadres et montage sur mesure. Du nom de son fondateur, David Hon. Premier fabricant mondial de vélos pliants, créé en 1982. » dans les années 1970. Il a également produit des vélomoteurs.

Vers 1892, Davis a commencé à fabriquer des bicyclettes. Créée en 1902, la marque Aiglon. De 1891 à 1902, Decauville produit six modèles de cycles dont certains sont équipés afin de pouvoir circuler sur voie ferrée, par adjonction d'un système composé de trois tubes et d'un galet de roulement.

La production emblématique de cette gamme est celle des tricycles, qui servent, entre autres, de base au prototype De Dion-Bouton. Artisan, vélos sur mesure et véhicules pour handicapés. DBS: Den beste sikkel(Norvège). Delizy & Poiret - rue Duret. Vélos, tricycles et mobylettes pliables. L'entreprise (131 avenue Gambetta) rachète les cycles De Dion-Bouton. Marque de cycle fondée en 2013. Composé d'un seul modèle en début d'année, la marque de cycle a développé une gamme complète de six modèles carbone et aluminium. Fondée en 1993, Electra est spécialisée dans les bicyclettes type cruiser et urbaines. La marque est aussi dépositaire du brevet « flat foot » pied plat. , avec un pédalier avancé et une position droite du cycliste.

Angleterre, formé par la fusion, en 1913, des sociétés Elswick et Hopper. Les marques appartiennent aujourd'hui à « 1Tandem Group ». Fondé en 1980 par Eddy Merckx.

Fabricant de vélos sur-mesure de luxe. Cadres réalisés à partir de bambou et de fibres de lin naturel. Cette marque de cycle a développé une gamme de 3 modèles : un citadin, un gravel et un grand voyageur. Ateliers de constructions mécaniques, 113, Quai d'Orsay. 16 & 18 rue Choron.

Établissements Henri Gautier & Léon Chapuis - Lyon, France. Marques « Chimére », « Horer » et « Uranus ». Felix Fournier & Knopf - France. La fabrication commence en avril 1910, l'usine de Villar Perosa. Fabrique les composants qui sont ensuite assemblés à Turin.

Dans des ateliers via Marocchetti, près de l'usine d'origine corso Dante. En 1912, à cause de la guerre en Libye. Les commandes liées à la production de bicyclettes sont abandonnées en faveur des véhicules et de l'équipement, utilisés en Afrique. Marque de légende du cyclisme Belge utilisée par tous les champions flamands des années 1960 et 1970, Rik Van Looy.

Faillite de l'entreprise en 1980. Depuis, la marque a été reprise en Angleterre. Framy's - La Ville-aux-Dames.

Société issue d'une restructuration des Ets. Sibilia au cours des années 1970. Contrainte au dépôt de bilan en 1983, la société est relancée peu après, rachète Saint-Étienne Cycles (liquidée en 1989) puis la marque Mercier (disparue en 1985). En 1991, elle passe sous le contrôle du groupe néerlandais ATAG (devenu Accell). L'usine compte alors 100 salariés et commence à panacher production et importation, ses débouchés se réduisant de plus en plus aux grandes surfaces. Outre sa propre marque et Mercier, elle a produit puis importé des vélos vendus sous la marque « Poulidor » et sous des marques de distributeurs.

L'usine a cessé de produire vers 2005. Créé par René Bancal, qui possédait une manufacture d'armes et de munitions de chasse. Magasins et bureaux au 9 rue Descombes.

À Paris, usines à Pantin. C'est aujourd'hui le plus grand constructeur mondial de bicyclettes (8 usines pour une production annuelle de plus de 5,6 millions d'unités en 2009). C'est l'un des plus grands fabricants néerlandais de bicyclettes. Magasin 6 Avenue de la Grande-Armée.

Très connue dans les années 1970. Et 1980 pour des vélos de course très haut de gamme « Gios Torino ». Vainqueurs de nombreux Paris Roubaix.

Grâce à Roger de Vlaeminck. La marque a été vendue dans les années 2010. À son importateur au Japon.

En a été actionnaire à 90 % dans les années 1980. En 1991, elle devient propriété du groupe « Grimaldi Industri AB » (Suède) en 1996. La production de cadres est abandonnée au début des années 2000, l'usine ne faisant plus que de l'assemblage de vélos importés pour la grande distribution (528 000 bicyclettes en 2004). Elle ne produit plus sous la marque Gitane, confiée à l'ancienne usine Peugeot de Romilly, mais sous les marques « Micmo », « EXS » et diverses marques de distributeurs, dont Nakamura pour Intersport. Qui la rachète en 2012 et la renomme Manufacture Française du Cycle. La compagnie des Cycles Gladiator. Gladiator (1896) - Le Pré-Saint-Gervais. Fabricant de cycles et d'automobiles entre 1891. Et jusqu'aux années 1950. La marque créa une gamme de vélos, majoritairement en Duralumin. Le constructeur de la marque est la société Atelier Titane. Vélos « standards » ou sur mesure. Appelée « Ludo » de 1928 à 2000.

Magasin au 5 avenue de la Grande-Armée. Griffiths & Sons - Wolverhampton. En 1920, la fabrication déménage à Croydon. Et, en 1926, à Twickenham.

En 1935, FHG Ltd est créé à Wimbledon. En 1947, le nom « F.

Grubb » est à nouveau utilisé. En 1951, l'entreprise est rachetée par Holdsworth, qui utilise la marque Freddie Grubb jusqu'en 1978.

Des coureurs champions du monde avec cette marque de vélos : Roland Liboton. La Guêpe anciennement maison E.

Fabricant artisanal de vélos, de tandems de course et de voyage, randonneur, uniquement sur mesures, en acier et en acier/carbone. Connue pour être entrée dans le Livre Guinness des records. Pour avoir créé, en 2007, le plus long tandem au monde. Elle a également produit des cyclomoteurs.

Hercules Cycle and Motor Company. Également fabricant de motocyclettes et de cyclomoteurs. Fabricant de pièces en Dural à partir de 1936 puis constructeur de bicyclettes haut de gamme et sur mesure (avec quelques pièces maison : freins, manivelles, potence, boulonnerie) de 1940 à la fin des années 1980. Fabricant d'armes, de 1895 à 1927, la Fabrique nationale produit aussi des bicyclettes avant de construire également des engins motorisés (automobiles et camions à partir de 1900, motocyclettes à partir de 1901), tous destinés à l'armée mais aussi au grand public. Marque de la Manufacture d'armes et de cycles de Saint-Étienne. Constructeur de vélo de voyage. Production très limitée (63 vélos en 2014).

Créé par William Frank Holdsworth, maintenant détenue par Planet X Limited. Fondé en 1981, c'est un des plus vieux fabricant de VTT. Howe (& New Howe) Machine Company - Glasgow.

Fabricant de machines à coudre. Magasin au 48, Boulevard de Sébastopol. Fabricant de bicyclettes depuis 1894.

Employait environ 2 000 personnes au début des années 1970. Compagnie des Automobiles et Cycles Hurtu. Assemblage de vélos principalement destinés à la location.

Une cinquantaine d'employés pour une production journalière de 200 à 400 vélos en 2010. Elle a produit 25 000 bicyclettes en 1958 et possédait vers 1975 deux usines avec une capacité de production avoisinant les 200 000 unités par an. Loire, magasin 7 Avenue de la Grande-Armée. Kenwood Manufacturing Company - Chicago.

Kinfolk Bicycle Company - New York. Kymris - 9 rue de la Pompe. Production annuelle autour de 6 000 bicyclettes vers 1960. Usine en 1972 au sud de Dijon.

Contrôlée depuis 1996 par le groupe Accell (Pays-Bas). Environ 90 000 vélos assemblés en 2009. Léa et Norma - Bruges.

Leader Fox - Ceské Budejovice. Marque du groupe Bohemia Bike fondé en 1998 par Pavel Muller.

Production annuelle autour de 100 000 vélos en 2017. Belgique, marque de la Société Deprez-Joassart.

Les cycles à la marque René Le Grevès, ancien coureur professionnel, étaient fabriqués par Mercier. Rebaptisée Legnano (le nom de la ville natale de Bozzi), marque Aurora, achetée par Cycleurope dans les années 1990.

Elle a également produit des motocyclettes. (de 1974 à 1988), France.

Leleu -Lille puis Lomme (de 1981 à 1998). Fabricant artisanal de cadres acier, carbone, titane - essentiellement destinés à la course. Fabricant de bicyclettes, motocyclettes, tandems et tricars, racheté par La Française en 1909. Fondée en 1918, liquidée en 1996. Fusionne avec Simplex Machine en Rijwielfarben. Lombardo - Buseto Palizzolo (Trapani), Italie. Activité venue compléter la fabrication de fixations de skis (depuis 1956) puis de pédales-cale-pieds automatiques et, depuis 1986, de cadres légers en fibres de carbone. Elle a racheté en 1999 la célèbre marque stéphanoise Vitus (tubes et cadres légers - la ligne de production a été reprise par Multidis). Production en partie délocalisée ; 180 employés à Nevers.

Louvet frères et Cie - France. 71 avenue de la Grande-Armée. Atelier au 6 rue Hergolèse à Puteaux. Fabricant, exporté en France par Felix Fournier & Knopf, magasin à Paris. Un des plus grands constructeurs actuels.

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