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Pour la sauvegarde de vos affiches. (exemples photos de notre travail et devis sur demande). Géolocalisation sur la carte : Essonne. (Voir situation sur carte : France). Autodrome Heritage Festival Autodrome Italian Meeting Autodrome Vintage Market Café Racer Festival God Save the Car Les Grandes Heures Automobiles. Jap'n'Car Festival OTO Classic - Grand Prix 1930 US Motor Show Wagen Fest Youngtimers Festival.Anneau de vitesse : 2,5. L'autodrome de Linas-Montlhéry est un circuit ayant accueilli des courses automobiles. Par l'architecte Raymond Jamin. Sous l'impulsion de l'industriel Alexandre Lamblin. Il a reçu le label « Patrimoine du xx.
Il appartient depuis 1973 à l'Utac Ceram. Propriétaire aussi du Circuit de Mortefontaine. L'autodrome est initialement situé en Seine-et-Oise.À présent dans le département français. Et dans le canton de Montlhéry. Aujourd'hui sur le canton de Longjumeau. , centré sur la commune de Linas. À cheval sur celles de Bruyères-le-Châtel.
Appelé familièrement « autodrome de Montlhéry. », du nom du chef-lieu de canton. Naissance d'un circuit automobile innovant. Travaux de construction en 1924.
En juillet 1925, sur la rampe descendante de Linas-Monthléry (à gauche, la rampe montante). L'autodrome ouvre en 1924.
Sous l'impulsion d'Alexandre Lamblin. Et industriel, né en 1884, a fait fortune en fabriquant des radiateurs. Passionné de sports, il possède un journal. En ce début des années 1920. L'industrie automobile est en effervescence, cherchant à battre des records, notamment de vitesse.
Les défis alors inédits, tels que des courses entre une voiture. Sont à la mode et intéressent le grand public. Disposent du circuit d'Indianapolis. En 1922, Alexandre Lamblin, avec l'équipe de l'Aéro , imagine de créer un lieu consacré à tous les sports ; il fait l'acquisition, en 1923. D'un terrain situé sur le plateau de Saint-Eutrope. Village traversé par la route nationale 20. Les terrains sont peu coûteux et proches (à une trentaine de kilomètres) de Paris. Deux projets sont étudiés, le moins onéreux est retenu.Il consiste en un anneau de vitesse. De deux kilomètres et demi, occupant le plateau de Saint-Europe. L'anneau sera étendu et complété par la suite d'un circuit routier construit sur deux des communes limitrophes de Linas. Le plateau de Saint-Eutrope se rattache géographiquement au Hurepoix. Dans l'ancienne forêt d'Yveline.
Ancien emplacement de la seigneurie. Et du château de Fay. Il est alors vaste, boisé, peu habité et peu construit : une maison de maître (le château de Saint-Eutrope).
Proche de Linas, ainsi que la ferme du Fay. Pour Alexandre Lamblin, l'anneau de vitesse est central, essentiel ; il y voit. « un gigantesque vélodrome, à l'échelle des vitesses possibles pour l'époque ».
« un grand théâtre sportif ». L'anneau de vitesse de la piste prend donc une forme ovale, comportant deux lignes droites de cent quatre-vingts mètres de distance. Il présente la particularité, notable, de virages concaves ; leur forme parabolique cubique à axe vertical comporte un raccord tracé selon une spirale logarithmique. Le dessin vise à permettre à des véhicules d'une tonne d'atteindre une vitesse de.Le circuit, mesuré sur son axe médian, développe exactement 2 548,24 mètres. La construction de la piste de vitesse construite sur une charpente à la fois métallique et en béton débute le. Mille tonnes d'acier et huit mille mètres cubes de béton sont nécessaires à deux mille ouvriers pour réaliser l'ouvrage, les travaux durent six mois. L'usage d'éléments préfabriqués en font un chantier d'avant-garde.
Le revêtement Cold Asphalt recouvre les pistes, à l'exception des virages relevés, en béton. L'autodrome est inauguré le.
Plan du circuit routier de l'autodrome de Linas-Montlhéry 12,496. En 1925 : il quitte ici la piste de l'autodrome pour s'engager sur la route du circuit. La piste se révèle très réussie.
Deux mois après son ouverture, une centaine de records est enregistrée. Le circuit bénéficie de l'éclairage électrique qui permet de rouler de nuit et de tenter des records d'endurance.L'autodrome, ne provoquant pas de nuisance de voisinage, n'est pas freiné dans son développement. Entre 1925 et 1939, 86 % des records mondiaux sont battus à l'autodrome de Linas. En 1925, l'extension du circuit, avec la piste de 12,5 kilomètres prolongeant l'anneau de vitesse, permet d'accueillir le Grand Prix. De l'Automobile Club de France.
Y trouve la mort durant le Grand Prix automobile de France 1925. À partir de 1930, le circuit est en compétition avec celui de Pau. D'autres Grands Prix se succèdent à Linas. En 1931, en 1933 et en 1937. Les difficultés entraînent la vente au Domaine national.
L'ajout du circuit prolongeant l'anneau de vitesse entraîne des surcoûts. L'entretien se révèle trop lourd financièrement.
L'accès aux installations reste difficile, malgré la RN 20. Linas n'est pas correctement desservie par le train, même si l'Arpajonnais. Inauguré en 1894, relie Arpajon. Au sud de l'actuel département de l'Essonne, à Paris.Cette ligne connaît des difficultés à partir de 1922. La fiscalité directe prélevée sur l'autodrome est excessive. Par jugement, le circuit est déclaré en faillite. En 1928, les entreprises d'Alexandre Lamblin connaissent également des difficultés financières, le poids financier du circuit n'ayant pas arrangé les choses.
L'usine est mise en faillite. Publicité des huiles et carburants Olazur. L'industriel est gravement malade ; il liquide son journal L'Aéro-sport. Des suites de sa maladie, ruiné et tombé dans l'anonymat. Y installe une station d'essais pour ses véhicules, à l'initiative du colonel Pierre Prevost.
En 1936, l'autodrome est fermé. Le projet de loi prévoyant son acquisition par l'État n'est pas voté. La ligne de chemin de fer passant par Linas, l'Arpajonnais. Devant les frais d'exploitation élevés et l'état du revêtement de béton se dégradant et ne permettant plus de faire tourner les monoplaces à vitesse élevée, les administrateurs de l'autodrome doivent se résigner à sa vente en 1939.
Les sept cent cinquante hectares du domaine sont acquis par le Domaine national qui les met à la disposition du ministère de la Guerre. Tout au long de l'année 1939, l'armée utilise les installations pour entraîner des conducteurs d'autos et de motos. De novembre 1940 à avril 1942, l'autodrome fait fonction de camp d'internement.Sous la direction notamment d'Edmond Bertaux. Les hébergements militaires servent aux prisonniers.
Ce camp était « dans l'enceinte de l'autodrome ». Vraisemblablement situé intégralement sur la commune d Ollainville. À l'endroit qui accueille aujourdhui le.Raymond Gureme fait partie des internés, Il s'échappe, est repris et finit en camp. Il en revient et, très tard, écrira un livre témoignage grâce à une journaliste qui fera ouvrir les archives, révélant ceux qui ne sont pas revenu, dont des enfants et des bébés. A eu des conséquences lourdes pour le circuit : il se trouve fortement endommagé par manque d'entretien. Après-guerre : l'expérimentation automobile, avec l'UTAC. Dès mi-1944, les Américains utilisent l'autodrome comme réserve de carburant et camp de transit.
Après la courte période de sa gestion par l'armée américaine, l'autodrome est remis à l'armée française en particulier, sous la direction du colonel. En décembre 1946, l'État passe un contrat de gérance avec le CETAC.
En contrepartie du versement d'une redevance annuelle aux Domaines, l'Union technique de l'automobile, du motocycle et du cycle. (UTAC) obtient un bail de longue durée pour gérer au civil les pistes ainsi que les installations de l'autodrome, sous condition de sa remise en état, de l'entretien et de l'organisation de compétitions. L'anneau ouvre de nouveau en février 1947, le circuit complet, en juin 1947. Ces travaux vont permettre au circuit de diversifier ses activités, en particulier dans les domaines techniques et expérimentaux entre autres, les bancs d'essai de l'Auto-Journal.L'UTAC exploite l'autodrome essentiellement pour des essais techniques. Désormais, le circuit est surtout consacré aux tests de constructeurs, par l'UTAC.
En est le directeur durant les années 1950. L'ensemble est ensuite dirigé de 1964 à 1976 par Philippe Maillard-Brune.Employé par l'UTAC, qui a notamment la charge de la destruction du château de Saint-Eutrope au début des années 1970. À l'abandon depuis la guerre et transformé alors en squat. Au fil des années, sa réhabilitation voit, notamment, l'élaboration d'une tour de chronométrage en 1954. , d'une tribune de mille places, la construction de trente-quatre stands de ravitaillement avec stations de carburant en 1956. , la construction de deux passerelles enjambant les pistes concours de Dunlop.
Afin de permettre au public de se déplacer, d'une chicane au Nord de l'anneau de vitesse, d'une bretelle à l'Est et d'une chicane supplémentaire dans sa partie Sud (longtemps remplacée par des bottes de paille). La surface des pistes sera rénovée, en particulier le circuit routier entreprise Colas. En 1963, le futur champion Jean-Pierre Beltoise.Découvre le métier sur la piste de Linas. L'UTAC rachète le site en 1973, via la Chambre syndicale des constructeurs automobiles. À la suite d'accidents aux 24 Heures du Mans. Après d'autres accidents mortels sur les circuits de vitesse et à la montée en puissance des machines de compétition, l'évolution des consignes de sécurité confronte l'autodrome à des homologations de plus en plus difficiles. La Commission nationale des circuits de vitesse délivre son homologation.
Également, pour une durée de quatre ans. De nouveaux aménagements sont effectués afin de pouvoir continuer de recevoir les Coupes du Salon ou le Grand Prix de l'Âge d'or. Tels l'implantation d'un grillage de protection des spectateurs dans la ligne droite menant aux tribunes jusqu'au virage dit « des Deux-Ponts », ou en haut de l'anneau, devant pouvoir résister à des impacts à. L'homologation pour la compétition n'est pas renouvelée en 2004. Afin de remettre le circuit aux normes, plus de quinze millions d'euros auraient été nécessaires.
Le circuit s'expose alors au risque de son démantèlement : une association pour la sauvegarde de l'autodrome de Linas-Montlhéry (ASALM) est mise sur pied sous le parrainage de Christian Estrosi. Nouvelle homologation reconduite en 2010. Une nouvelle homologation (roulage hors compétition) de l'anneau de vitesse et du circuit 3,405 est accordée en 2010.Ce qui permet aux collectionneurs et aux amateurs de sports automobiles de revenir sur les pistes de l'autodrome. Elle est reconduite en 2014. Depuis, une dizaine d'événements a lieu chaque année. Ces manifestations sont gérées par la cellule événementielle de l'UTAC : Paris Auto Events. En semaine, l'autodrome se transforme en centre d'essais pour tout ce qui a trait à la mobilité terrestre.
En 2014, le bâtiment « 1924 » est inauguré. En 2016, le Centre d'essai de véhicules autonomes (CEVA) amorce ses activités.Les premiers essais sont attendus dans le courant de l'année 2018. Anecdotiquement, le premier à tenter de battre un record sur le nouveau circuit est un cycliste, le belge Léon Vanderstuyft. Il atteint 107,7 kilomètres à l'heure à vélo.
Deux mois à peine après son inauguration, près de cent records sont établis voire battus sur l'autodrome. Le premier exploit est à mettre sur le compte de la marque Rolland Pilain, puis le record du tour de piste sera pendant longtemps l'apanage de Gwenda Stewart. Par la suite de nombreux pionniers des records investissent le circuit, venant particulièrement de Grande-Bretagne où les restrictions sonores imposées par les autorités brident leur fougue. Lors du meeting des Coupes de Paris, Raymond Sommer. Établit ce qui semble être encore le record de vitesse absolu sur l'anneau de vitesse, à.
« barquette » créée par Pierre Barbot et pilotée par Jean Vinatier bat neuf records du monde dont : douze heures à. De moyenne et vingt-quatre heures à. Termine aux mains de huit pilotes différents une ronde de trente-huit jours, après avoir parcouru 102 873,243. À la vitesse moyenne de. Et remporté quatorze records du monde 1 100 à 1 500. La grille de départ du Grand Prix de France 1934. Sur l'autodrome, avril 2002. Se disputent en une semaine le Champions Match , le Grand Prix du M. Et le Grand Prix de l'Ouverture.De nombreuses courses sont organisées sur les différentes combinaisons du circuit, avant la Seconde Guerre mondiale. Comme le Grand Prix de l'Automobile Club de France.
(vitesse et tourisme) et le Bol d'or automobile. Ou après comme de nouveau le Bol d'or automobile ou les Coupes de l'ACIF (mars, avril, mai, juin ou septembre selon), les Coupes de vitesse (avril), les Coupes de Paris (avril), la Coupe de Printemps (mai), le Prix de Paris (juin), la Coupe d'Automne (septembre), les Coupes du Salon. (octobre), ainsi que les prestigieux 1 000.
Elles ont parfois une durée de vie limitée comme les Coupes de l'AGACI (septembre), les 12 heures de Paris et les 24 heures de Paris. Elles mettent en compétition indifféremment des monoplaces voitures de Grands Prix d'avant la Seconde Guerre mondiale. Et formules constructeurs, des voitures prototypes et de sports, des voitures de grand tourisme et de tourisme. Le Grand Prix de l'Automobile Club de France emprunte le circuit routier de douze kilomètres et demi.
Les bolides tournent dans le sens des aiguilles d'une montre. La victoire est remportée par la Delage.
Douze cylindres pilotée par Robert Benoist. Le record du tour est établi à. Le Grand Prix sera de nouveau organisé sur l'autodrome en 1931. Sous différentes formes ; malgré les difficultés d'accès à l'autodrome, le public sera au rendez-vous, passionné par les duels entre Alfa Romeo. Et l'entrée en lice des Auto Union. Le Bol d'or automobile (Association motocycle-cariste de France, AMCF) est disputé de 1937. Sur l'autodrome empruntant le circuit « court » de trois kilomètres avec les virages des Quatre-Bornes, de la Ferme, du Faye et la moitié de l'anneau de vitesse.La première année, l'épreuve est réservée aux véhicules de moins de 1 100. Et est remportée par deux « tanks » Chenard et Walker. Après la guerre, deux Grands Prix réservés aux monoplaces se disputent les faveurs du public sur le plateau de Saint-Eutrope, le Grand Prix du Salon organisé par l'Union sportive automobile (États-Unis) et le Grand Prix de Paris organisé par l'Association générale automobile des coureurs indépendants (AGACI) : les Talbot. Y règnent tout d'abord, mais rapidement Maserati. L'audience, record pour l'autodrome, dépasse vingt-cinq mille spectateurs.
Au début des années 1950. À l'image des courses de club britanniques (dans la lignée des Racers 500), apparaissent à l'autodrome les courses d'amateurs mettant en compétition de petites monoplaces à « faible » coût les Monomill Panhard. Elles permettent aux amateurs de se lancer dans la compétition et donnent lieu à des joutes spectaculaires.
Elles seront remplacées par des formules équipées de différents types de moteur dont Renault. Pour aboutir à la Formule 3. Plusieurs courses de Formule 2 se disputeront à Linas, dont en 1957.
Le Grand Prix de Paris avec Jack Brabham. Jim Russel comme vainqueurs, mais les deux courses les plus emblématiques furent les Grands Prix de France : en 1964. Avec la participation de champions internationaux comme Jack Brabham, Denny Hulme.
Avec celle de Jack Brabham, Jim Clark. Graham Hill, Denny Hulme et Jackie Stewart ainsi que celle de Jo Schlesser et Jean-Pierre Beltoise. Restent la compétition la plus liée au renouveau de l'autodrome : ils verront se disputer la victoire entre voitures sports/prototypes Alpine.
Litres, 250 GTO, 330 P, LM et P2, Ford. (GT 40 et MK2), Lola.
(de la 630 à la 660) et autres Porsche. (de la 908 à la 917).
Pour la première année, Louis Rosier. Remportent la victoire sur une Maserati. Litres, dont le moteur a été préparé par l'usine, à la vitesse de. En plein essor du sport automobile français, le plateau de Saint-Eutrope voit rugir les prototypes Matra Sports. Équipés tour à tour du.
(12 cylindres) Matra et voit surgir une nouvelle génération de pilotes Jean-Pierre Beltoise, Henri Pescarolo. Jack Brabham, pour sa dernière course, et François Cevert. Sont victorieux sur Matra Sports 660, à la vitesse moyenne de. Les deux derniers événements à se produire sur l'autodrome sont la Coupe du Salon. Et le Grand Prix de l'Âge d'or. Ce dernier est en 1996. La troisième manifestation automobile de France.Après les 24 Heures du Mans. Et le Grand Prix de France de Formule 1. La Coupe du Salon n'est plus organisée après 1971, faute de concurrents suffisants. Le quarantième et dernier Grand Prix de l'Âge d'or se déroule le. Ken Block dans un virage sur le circuit de Linas-Monthléry.
Des stages de pilotage ont été organisés sur monoplace Mygale. Aujourd'hui seul des stages de supercars. R8 semblent être à l'ordre du jour. Vient y faire un gymkhana. L'UTAC ouvre ses portes lors de la journée « trackday » destinée aux amateurs de sessions de roulage libre : elle est organisée par Paris Auto Events.
Organisée par Mag Factory et Paris Auto Events, avait réuni le. Plus de sept cents des véhicules des années 1970 à 1990, pour une exposition et des démonstrations.
Loccasion pour le public venu nombreux de retrouver sa jeunesse et ses souvenirs au volant de modèles cultes : Golf GTI. Et bien dautres modèles étaient à découvrir. Une grande fête qui a également mobilisé les clubs de plus en plus nombreux à fédérer les Youngtimers. Les quatre-vingt-dix ans de l'autodrome ont été célébrés en 2014 par différentes manifestations. Le 28 mars : Afterwork, qui rassemble une centaine de Citroën 2 CV. Les 7 et 8 juin : parade de véhicules anciens. Le 21 septembre : parade du « Mustang Day » organisé par le Mustang Club de France, sur le tracé de 3,405. Avec plus d'une centaine de véhicules ayant effectué trois tours de circuit. Les 26 et 27 septembre 2015, l'Autodrome accueille la première édition de Les Grandes Heures Automobiles. Une manifestation festive et annuelle regroupant des autos, motos et pilotes de légendes en démonstration dynamiques et statiques. Firent partie des pilotes présents ce week-end. La nature des activités et le manque de fiabilité mécanique entraînent de nombreux accidents. Les dispositifs de sécurité se mettent lentement en place.Lors du premier Grand Prix de l'Automobile Club de France. (ACF), à la courbe Saint-Eutrope du circuit routier, Antonio Ascari. Accroche une barrière, part en tonneaux.
Avec son Alfa Romeo P2. La courbe Saint-Eutrope portera son nom. Lors d'un tentative de record de vitesse, Marius Breton perd le contrôle de sa Panhard. 35CV Lame de rasoir sur l'anneau de vitesse à cause d'une crevaison à plus de.
Lors du Grand Prix de l'ACF, De Courcelles trouve la mort dans la course de Formule libre. Lors d'un tentative de record, René Cozette se tue au volant d'une voiture de sa fabrication.
Lors d'une tentative de record de vitesse, Amedeo Ruggeri se tue au volant de sa Maserati. Lors d'une tentative de record de vitesse, Georges Berthelon se tue au volant d'une Renault Vivasport.Lors d'une course de Formule Libre, Guy Mairesse. Meurt en percutant un mur de béton avec sa Talbot-Lago.
T26GS, au virage des Deux Ponts après une manuvre pour éviter une Renault 4CV. Un enfant de six ans meurt également dans l'accident. Lors de la Coupe du Salon.
Part en tonneaux avec sa Ferrari 750 Monza. Au niveau de la contre-courbe Antonio-Ascari, se blesse grièvement et meurt le 29 octobre à l'hôpital de Neuilly-sur-Seine. Lors de la même épreuve, le suisse Benoît Musy. Quitte l'anneau de vitesse à environ.
Et s'écrase au pied de l'architecture de béton, se tuant sur le coup. Lors d'une course de voitures de tourisme, Caroline Taste perd le contrôle de son Austin-Healey Sprite.
Dans la Boucle des Biscornes et meurt de ses blessures. Lors de la Coupe du Salon, Henri Oreiller. Se tue au volant de sa Ferrari. Lors des essais des 1 000.
Se tue au volant de sa René Bonnet. De Paris, un accident à la sortie des stands provoque la mort de deux pilotes, Peter Lindner. Et celle de trois commissaires de piste. Lightweight du pilote allemand partie en aquaplanage.
À l'arrêt du pilote italien. Lors d'essais en prévision des 1 000. Se tue au volant d'une Alfa Romeo. Lors d'un banc d'essais de L'Auto-Journal. Le journaliste Marcel Reichel meurt dans un accident en tant que passager.
Lors d'un Grand Prix de l'Âge d'or, Bernard Houzelle est victime d'une crise cardiaque. Et tire tout droit à la Déviation de l'Est, percutant un commissaire de piste qui meurt également. Herbert Le Vackl dépasse les. Sur un tour au guidon d'une Brough Superior.
Marcel et Robert Pahin battent plusieurs records et notamment celui des 2 000. Les 24 heures avec 2 849,23.
Au guidon d'une Peugeot 515. Henri Nougier bat quatre records dont celui des 50. Établit huit records du monde 5. Et 5 miles, 10 miles, 50 miles ainsi que celui de l'heure à.
De vitesse moyenne sur une Jonghi. Les 350 et 500 Norton.Fish signent cent quarante et un records. Spéciale nommée « Vespa Montlhéry » établit dix-sept records du Monde, conduite par sept pilotes. Parmi les records établis, figure celui de la moyenne horaire. Le Grand Prix de France, organisé par l'Union motocycliste de France (UMF), prédécesseur de la Fédération française de motocyclisme.
(FFM), se déroule à l'autodrome en 1925. Il réunit l'élite internationale et voit des victoires belges, britanniques, françaises et suédoises. Il y est encore prévu en 1957. Mais est annulé consécutivement à la crise du canal de Suez.Et à la pénurie d'essence. Le Motocycle club de France (MCF), organise lui aussi son Grand Prix de France de 1924. Avec une participation plus nationale qu'internationale, même si des Britanniques s'y illustrent. Il reprend après la guerre sous différents noms pour devenir le Critérium de vitesse MCF de 1960. Pour cette dernière année, la vice-présidence est confiée à Georges Monneret.
Une petite centaine de candidats de l'élite nationale est inscrite pour cette course d'endurance de quatre heures dont Daniel Rouge. Et Charles Kajka sur Moto Guzzi. Et Gérard Debrock sur Kawasaki. Jacques Roca et Jean-Claude Chemarin.
Organisé par l'Amicale motocycle-cariste de France (AMCF) dont Eugène Mauve et Maurice Vimont furent les chevilles ouvrières est la course motocycliste la plus emblématique qui se soit tenue à Linas. Il a vu la compétition entre les meilleures marques allemandes BMW. Devenue Ydral, Gnome et Rhône. Avec des incursions américaines Harley Davidson. , hongroises (Panonia) et tchécoslovaques Jawa., souvent représentées par des écuries d'usine. En 1970, une machine japonaise, la Honda CB 750 Four. Enlève pour la première fois la victoire.
À cette course phare du sport motocycliste français, l'AMCF associe en début de saison la Côte Lapize. Qui permet de découvrir les machines préparées durant l'hiver. Quatre cylindres d'usine conduite par Pierre Monneret. En 1977, la catégorie 125. Compte trente-six inscrits, la catégorie 250.Trente-sept inscrits, la catégorie 350. Douze inscrits, la catégorie 500. Dix-huit inscrits, la catégorie 750. Vingt et un inscrits, la catégorie 1 000. Onze inscrits et la catégorie side-cars onze inscrits.
La tradition veut également qu'en ouverture de certaines compétitions automobiles des courses motocyclistes soient programmées, généralement le matin, par exemple pour la Coupe du Salon. Elle devient les Journées motocyclistes du Salon. Les dernières Coupes Eugène Mauve. Sont également disputées en 1976. Voient fleurir le Bol d'argent 1981.
Réservé aux pilotes nationaux, les coupes Promosport 1988. Plusieurs générations de pilotes ont été encouragées à pratiquer le sport motocycliste par la proximité de lautodrome et ont parfois porté haut limage de la France, records mondiaux, championnats nationaux, Bol dor. Et championnats mondiaux : les plus illustres ont été Jean-Pierre Beltoise.
Réunion internationale de motos anciennes, alliant confrontation sur le circuit, concours de restauration et brocante sont nées ici et s'y sont tenues de 1993. L'autodrome a bien vite attiré également les champions cyclistes, dans le sillage du tout premier record décroché par le belge Léon Vanderstuyft. Vainqueur du Tour de France. Et mort au champ d'honneur en 1914.A donné son nom à la côte la plus accentuée du circuit routier de l'autodrome de Linas-Montlhéry : cette côte a représenté la difficulté majeure des courses cyclistes qui s'y déroulaient. Le Premier pas Dunlop cycliste, compétition qui a précédé le championnat de France sur route des débutants (n'ayant jamais possédé de licence et n'ayant jamais couru en course officielle), devenu depuis 1974 le championnat de France sur route des juniors, s'est déroulé sur le circuit routier de l'autodrome de 1929. En 1933, les championnats du monde de cyclisme sur route 1933. Se déroulent également sur le circuit au cours duquel s'impose Georges Speicher.
Parmi les coureurs de proximité, Claude Guyot. S'y révèle en 1964. Grande fête de la moto et de l'auto de légende, dexception et de compétition Gordini.Expositions, animations et sessions de roulage sur l'anneau et village des artistes. Des voitures des années 1930 aux supercars italiennes contemporaines, l'Autodrome Italian Meeting regroupe toutes les glorieuses marques italiennes Alfa Romeo.
Le temps d'une journée. Vintage ouverte aux exposants professionnels du secteur automobile et de la bourse d'échange et aux passionnés propriétaires de véhicules passion.
Avec la présence d'un salon consacré aux objets, vêtements, accessoires, et aux belles mécaniques dantan. Événement de référence pour les passionnés de motos. Le village Café Racer regroupe les exposants de ventes d'accessoires et de pièces motos. God Save The Car and the Motorcycle. Les voitures anglaises d'exception Mini.Paradent sur l'anneau de vitesse, les participants et visiteurs sont habillés d'époque. Toute la culture japonaise s'expose lors de ce rassemblement de voitures et motos japonaises (expos, roulages, animations, clubs), avec la participation des marques nippones Toyota. Manifestation (sur 2 jours) consacré aux automobiles de légendes ou de compétition, et aux motos historiques.
Séance de roulage, expos, villages d'exposants. OTO Classic - Grand Prix 1930. Championnat de voitures électriques (Devinci Cars) qui s'inspirent des années 1930 créées par Mitjet. La culture et la musique américaine, la danse country. Tout est réuni pour vivre le rêve américain! Village US Motor Show, Street Food. Événement consacré à la culture germanique, parade de Cox et Combi, exposition de supercars allemandes Audi R8. Et la présence des grands constructeurs automobiles Porsche, Volkswagen, BMW, Opel, Mercedes, Audi. Les Youngtimers se donnent rendez-vous sur l'anneau de Montlhéry, avec la participation des clubs.Village, bourse d'échange, pièces d'occasion, animations typiquement années 1980. L'item "AFFICHE AUTOMOBILE circuit LINAS MONTHLERY 1000km PARIS 12 octobre 69 BELIGOND" est en vente depuis le mardi 31 mars 2020.
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