Pas de copie - pas de repro. MODELE D'AFFICHE TRES RARE - VERY RARE POSTER. 76 CM X 53 CM. (+ 4 cm d'entoilage idéal pour encadrement ou punaises).
SUPERBE AFFICHE D'ALEXIS KOW. Cette affiche a nécessité des restaurations. Entoilée et restaurée par nos soins.
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La griffe de la performance. Balais d'essuie-glaces, plaquettes de frein, filtres climatisation, bougies, projecteurs, avertisseurs. Marchal est une entreprise française. Spécialisée dans les équipements de l'industrie.En 1923, avec un petit groupe damis, Pierre Marchal. Fonde « La Société pour la Fabrication de Projecteurs et Lanternes Électriques » dont lusine sinstalle rue Méhul à Pantin.
Rentrant un soir dans son garage, il aperçoit dans le faisceau de ses phares les yeux de son chat noir luisant dans lombre. C'est ainsi que lui vient l'idée de s'inspirer de cette vision pour créer son logo ainsi que son slogan : le célèbre masque de chat au regard phosphorescent avec pour slogan. « Je ne prête mes yeux quà Marchal ». En 1926, la marque connait ses premiers succès en tant que sponsor de courses automobiles : Rallye de Monaco.
Ces courses permettent de démontrer la résistance et l'efficacité des produits de la marque : des projecteurs. Les produits Marchal sont distribués à tous les grands fabricants automobiles français et mondiaux de l'époque. En 1927, Marchal débute la production de bougies. Première au rallye de Monte-Carlo. Renault Dauphine Gordini équipée de projecteurs Marchal.En 1929, le feu « code » devient obligatoire. Marchal fait construire une chambre noire dans son nouveau siège de Neuilly. En 1935, les premiers avertisseurs à électro-compresseur « Fulgor » sont présentés. La police, la gendarmerie, la marine, les pompiers demandent des avertisseurs spéciaux pour assurer leur service.
En 1936, Marchal lance son projecteur antibrouillard 630 à double parabole décalée. Ce projecteur sera monté sur des véhicules de luxe tels que Delage. En 1954, les succès en compétition senchaînent avec une double victoire aux 24 Heures du Mans. Les projecteurs et bougies Marchal équipent la Ferrari victorieuse à la distance et la D. Panhard qui remporte lindice de performance.Le système « détrompeur » est créé la même année, permettant dadapter léclairage de croisement asymétrique aussi bien pour la circulation à droite quà gauche. En 1960, Marchal conçoit pour la dernière marque française de luxe Facel Vega. Le projecteur Megalux, qui comporte deux réflecteurs séparés code et route derrière une seule glace. Antibrouillard fabriqué par Marchal place en 1961 ce fabricant à la tête de la production mondiale.
En 1962, les projecteurs à iode. Marchal permettent à la Ferrari 330.
De rouler aussi vite de nuit que de jour et de remporter les 24 Heures du Mans. Cest la première victoire au monde avec des projecteurs à iode. En 1963, pour compléter la gamme de leurs équipements et faire face à la concurrence européenne consécutive à la création du marché commun européen. (Société dÉquipements pour Véhicules automobiles) décident de sunir.Fabriquait des dynamos, démarreurs, allumeurs, pompes à essence ainsi que des essuie-glaces électriques. Lunion de Marchal et de S. Concrétisée par une diffusion commerciale sous la marque S. Marchal, permet au groupe daccéder à lune des toutes premières places de léquipement automobile européen. La nouvelle société (dont 40 % sont détenus par la Secam) dispose ainsi des usines d Issy-les-Moulineaux.
En 1968, SEV Marchal entreprend la fabrication des lave-glaces. (Société Anonyme Française du Ferodo) prend le contrôle du groupe S.
En rachetant à Marchal sa participation dans le capital de la Secam. En 1972, Marchal est linventeur du balai à agrafage rapide. Alors que chaque type de véhicule possédait des balais dessuie-glaces spécifiques, Marchal, grâce à cette innovation, parvient à réduire considérablement sa gamme en créant des balais multi-affectations.V-Marchal crée la Société Aveyronnaise de Métallurgie (fonderie sous pression dalliages légers) à Viviez. Qui devient le principal fournisseur de S. V, puis, plus tard, de Paris-Rhône en pièces de fonderie daluminium.
Marchal construit une nouvelle usine à Châtellerault. Et commercialise toutes ses productions sous la marque S. En 1977/78, les sociétés S. V-Marchal et Paris-Rhône-Cibié se rapprochent. Le nouvel ensemble, que contrôle la S. Par lintermédiaire de la F. Prend le nom de S. Et est coté au comptant à la Bourse de Paris. Lannée suivante, des modifications de structure juridique entraînent la création de E. Marchal par apport des activités industrielles et commerciales de lex-S. V nest plus quune société holding regroupant les filiales E. Lannée suivante, création de S. V-SERVICE, société de distribution des produits du groupe S. V, avec le magasin de Beauchamp. En 1979, Jean-Pierre Marchal et son frère Claude Marchal vendent la société à Ferodo, poussés par la crise de l'automobile.En 1980, Ferodo devient Valeo. Marchal devient alors une marque du groupe Valeo.
Son statut momentané de seconde marque explique labandon total de publicité à cette période, mais des symboles subsistent : le masque du chat est conservé. En 1985, la marque Marchal devient la marque dédiée à la grande distribution et trouve ainsi un second souffle. Cette année-là, le lancement samorce avec la création de Valeo Distribution, branche destinée à la distribution des pièces détachées automobiles sur le marché de la rechange, pour devenir effectif en 1988.
Lannée 1985 est ensuite marquée par le lancement des balais dessuie-glace Série « U ». Détenteur du brevet, Marchal est autorisé à utiliser le nom de « Série U », correspondant à « Universel » pour qualifier l'adaptabilité des balais dessuie-glaces. En 1988, Marchal abandonne léclairage pour se concentrer sur les bougies dallumage, puis les balais dessuie-glace et les plaquettes de frein. Le père d'Alexis Kow était un universitaire russe parlant sept langues, homme de lettres et journaliste, qui avait pour habitude de beaucoup voyager en Europe Occidentale.
A la suite des évènements politiques de 1905, il quitta son pays. Son fils Alexis fut mis en pension à Lausanne en Suisse en 1908, suivant là une tradition familiale, puisque des oncles et tantes (côté maternel) y avaient déjà fait leur apprentissage de la langue de Molière. Le pseudonyme Kow était un diminutif de Kojewnikow, son vrai nom. D'ailleurs, le grand père paternel d'Alex Kow était un neurologue reconnu, qui étudia et laissa son nom à une forme d'épilepsie, l. Alex Kow coupa définitivement les ponts avec son pays natal lors de la révolution de 1917. Grâce à la générosité d'une famille helvétique, il parvint à poursuivre ses études jusqu'à intégrer le Collège Technique des Arts et Métiers de Genève. C'est dans cette famille d'accueil qu'il attrapa le virus de l'automobile. Le père possédait une splendide Rochet Schneider, et c'est à son bord que le jeune étudiant fit ses premiers tours de roues en tant que conducteur. Arrivé à Paris en 1920, il tenta sans succès de faire construire un " appareil à dessiner " de son invention. Son premier emploi, il le trouva dans le bureau d'études d'un carrossier de Levallois. Curieux de ce qui se passait dans les ateliers et avide de conseils, il y fut chaleureusement reçu par les contremaîtres, peu habitués à voir un jeune homme s'aventurer " sur le terrain ". Conscient de ses faiblesses techniques, Kow ne manquait pas de parfaire son savoir le soir chez lui en potassant des ouvrages.Son employeur fut séduit par le coup de main de Kow, capable grâce à sa formation artistique de présenter des automobiles en perspective, ce que ne savaient pas faire les dessinateurs industriels. Les clients de la carrosserie croyaient ainsi avoir à faire avec une grosse société, dotée de moyens conséquents.
Cela attirait inévitablement une nouvelle clientèle, et contribuait à la notoriété nouvelle à l'entreprise. Mais celle ci dut faire face à des revendications salariales de ses employés qui mirent à mal la trésorerie. Par dépit, le patron vendit son affaire, pour ouvrir une maison d'édition, en ne reprenant qu'un seul salarié... Kow, tout en travaillant sur des maquettes publicitaires pour son employeur, ne cessait d'être sollicité par d'autres carrossiers, séduit par son talent rare. Mais il n'avait pas vraiment décidé de quitter son patron, et déclinait poliment les offres, ce qui incidemment avait pour effet de faire monter les enchères...
Mais les affaires peinaient à décoller dans la maison d'édition. Kow proposa ses services à plusieurs constructeurs.Il eut l'embarra du choix, et sélectionna la maison Panhard et Levassor. Le premier travail de Kow pour Panhard date de 1922. Il exposa trois idées à la marque, deux s'inspirant des recommandations du constructeur, et une selon sa propre inspiration. C'est celle ci qui fut retenue. Il s'agissait d'un torpédo reposant sur une flèche, avec le texte " Rapide comme la flèche ".
Cette affiche fut reprise pour illustrer la page de couverture du livre "A Kow, 40 ans de création publicitaire automobile". La collaboration avec Panhard fut suspendue en 1923. Artiste au talent désormais reconnu, Kow, qui n'avait pas encore 25 ans en ce début des années folles, fut contacté pour assurer l'exécution des catalogues et annonces publicitaires de la marque DFP (Doriot, Flandrin et Parant). En 1924, un client particulièrement heureux de la carrosserie réalisée sur son châssis Hotchkiss, organisa la rencontre entre Kow et le directeur commercial du constructeur.Après s'être rendu compte du talent de Kow, Jacobsen c'était son nom! , lui proposa un contrat d'exclusivité. Face au refus de l'artiste qui ne voulait pas perdre le reste de sa clientèle, Jacobsen lui organisa un vaste programme de travail, qui monopolisait l'emploi du temps de l'illustrateur.
Chaque publicité état analysée, décortiquée, et répondait à une logique d'accroche du lecteur d'une extrême efficacité. Hotchkiss n'hésitait pas à s'inspirer de ce qui se faisait de mieux dans la presse américaine de l'époque. Le constructeur, positionné en moyenne gamme avec sa 12 ch, proposait une voiture qui présentait à la fois les avantages d'une grosse et d'une petite cylindrée, mais sans les inconvénients respectifs, en quelque sorte le juste milieu si cher à Hotchkiss.La charge de travail était vraiment énorme dans les locaux de la marque aux canons, à tel point que Kow tomba malade, et fut contraint de prendre du repos à la montagne. La campagne publicitaire qu'il avait engagé fut une énorme réussite. Les usines tournaient à plein rendement. Ce succès eut de quoi rendre à Kow le tonus et la motivation nécessaire pour reprendre ses activités. A son retour à Paris, l'artiste renouait avec le directeur commercial de Panhard, Charles Perrot.
Alex Kow ne le savait pas encore, mais il allait en prendre pour plus de trente ans avec le constructeur de l'Avenue d'Ivry. Durant les années folles, entre 1918 et 1929, seule une minorité de français aisée appartenant à la haute société avait les moyens de s'offrir une voiture de marque réputée, et accessoirement de participer au " must " de cette époque : les concours d'élégance.Kow s'impliqua avec succès dans ces concours, organisés à Paris ou dans les lieux chics aux environs de la capitale, mais aussi dans les villes d'eau ou les villes estivales. Ces réunions étaient largement couvertes par les grands journaux de l'époque.
L'incidence médiatique et oui déjà! Était énorme pour les constructeurs et carrossiers qui voyaient leurs automobiles récompensées. Le travail de l'artiste fut reconnu au Polo de Bagatelle en 1933 par l'obtention du " Premier Grand Prix ", la plus haute récompense. De nouveau, en 1934, il représentait Panhard avec une heureuse composition. Kow représentait Panhard au concours d'élégance de Bagatelle.
Pour l'occasion, il imagina cette mise en scène dans laquelle son épouse et la petite fille étaient vêtues d'un même bleu, mais aussi les deux Panhard, les chaussures, le sac à main de madame, et même la laisse du chien. Les succès de Kow à Bagatelle ne firent qu'accroître sa notoriété. Il renoua avec Hotchkiss à partir de 1935, et oeuvra à l'étude des nouvelles carrosseries pour ce constructeur. Après guerre, Kow travailla de nouveau pour Hotchkiss et Panhard. Mais comme pour ses confrères, une page se tournait, une nouvelle génération d'illustrateurs affichistes voyait le jour, proposant un style plus novateur qui ne faisait, malgré les efforts de Kow, que dater un peu plus sa griffe si personnelle. En 1969 et 1970, Alex Kow rassembla une partie de ses souvenirs dans différents numéros de la revue bimestrielle l'Anthologie Automobile, dont il assura par ailleurs l'illustration de deux couvertures (numéros 9 et 10). Avec le temps qui passe, la signature d'Alex Kow, tout comme celle de Géo Ham, de René Vincent et de quelques autres " pointures " sont devenues très recherchées.Un juste retour des choses. Peu de temps avant son décès intervenu le 12 mai 1978, un ouvrage intitulé A. KOW, 40 ans de création publicitaire automobile aux Editions de l'Automobiliste (éditeur Adrien Maeght), rendait hommage au talent de l'artiste, en publiant un condensé de ses meilleures créations. Alex Kow avait lui même surveillé, contrôlé et corrigé chaque étape de la réalisation de ce livre, avec l'éditeur.
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