AFFICHE ANCIENNE 1954 journal LE PROGRES PAUL COLIN JOURNALISTE PHOTOGRAPHE

AFFICHE ANCIENNE 1954 journal LE PROGRES PAUL COLIN JOURNALISTE PHOTOGRAPHE
AFFICHE ANCIENNE 1954 journal LE PROGRES PAUL COLIN JOURNALISTE PHOTOGRAPHE
AFFICHE ANCIENNE 1954 journal LE PROGRES PAUL COLIN JOURNALISTE PHOTOGRAPHE
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AFFICHE ANCIENNE 1954 journal LE PROGRES PAUL COLIN JOURNALISTE PHOTOGRAPHE
AFFICHE ANCIENNE 1954 journal LE PROGRES PAUL COLIN JOURNALISTE PHOTOGRAPHE
Pas de copie - pas de repro. ENTOILEE (ON LINEN - LINEN BACKED). 80 CM X 57 CM. (+ 4 cm de marge d'entoilage, idéal pour encadrement). (+ 4cm linen backing margin, for framing).

Vous pouvez nous contacter pour la sauvegarde de vos affiches. (exemples photos de notre travail et devis sur demande). Le Progrès est le nom de nombreux journaux. Un journal régional français, dont le siège se trouve à Lyon.

Un journal régional québécois, dont le siège se trouve à Sherbrooke. Un journal régional français publié à Pointe-à-Pitre. Un journal régional belge de la région d' Ypres. Un hebdomadaire traitant de l'actualité locale du Sud-Aveyron.

Un hebdomadaire français de l'entre-deux guerres fondé par Henri Dumay en 1919. Un hebdomadaire appartenant au groupe Médias Transcontinental. Un quotidien régional républicain fondé en 1870. Par le photographe Émile Jacoby. Le Progrès de Fécamp, un quotidien local du groupe Paris-Normandie. Le Progrès de la Somme. Un quotidien régional français, diffusé dans la Somme.

Un journal égyptien en langue française, fondé en 1893. École des beaux-arts de Nancy. (166J, Ms 2687, 1 pièce, date inconnue). Paul Hubert Colin, né le.

Rue Jeanne-d'Arc à Nancy. Et l'un des plus novateurs et influents affichiste. De la première partie du.

L'enfance et l'adolescence de Paul Colin baignent dans. « l'effervescence créatrice qui anime alors sa ville natale, Nancy.

L'un des centres de l' Art nouveau. Apprenti dans une imprimerie en 1907, élève en 1910 d' Eugène Vallin.

À l' École des beaux-arts de Nancy. Il s'affirmera après la Première Guerre mondiale.

Où il est blessé à la bataille de Verdun. En 1916 - comme le chef de l'école moderne de l'affiche lithographiée. Ou passant par de nouvelles techniques de reproduction faisant appel à l' héliogravure. Il sera l'auteur de plus de 1 400 affiches et, selon Gérald Schurr.

De plus de 700 décors de théâtre et de costumes. Il semble que ce soit par hasard que Paul Colin, plusieurs années après la Première Guerre mondiale. Où il s'est installé après à la suite de sa démobilisation et où il est encore un peintre provincial inconnu donnant des dessins à plusieurs revues comme Fantasio. Son ancien camarade de front André Daven.

Devenu directeur adjoint du Théâtre des Champs-Élysées. Et qui l'en nomme affichiste et décorateur. Le théâtre accueille alors les Ballets suédois. Amenant Paul Colin en 1925 à créer l'affiche du film Le voyage imaginaire de René Clair dont Jean Börlin. Danseur-étoile du groupe, est la vedette.

Paul Colin est cependant révélé en cette même année 1925 par son affiche. Pour laquelle, avant de livrer la version finale, il suit longuement les répétitions de la troupe venue de Broadway. Constituée de quinze musiciens dont Sidney Bechet. Et de treize danseurs dont une jeune fille d'à peine 18 ans, Joséphine Baker.

Qui remplace la vedette new-yorkaise ayant refusé de faire le voyage. L'affiche de Paul Colin contribue à lancer la carrière de Joséphine Baker - après leur liaison amoureuse ils demeureront amis.

En même temps que la sienne. « elle attire immanquablement l'oil du public qui aspire à se perdre dans ce ballet de survivants fougueux et érotiques, relève Chantal Humbert. Dans une géométrisation marquée par l'influence africaine, Paul Colin met en scène avec brio le long corps de Joséphine Baker et le place en sandwich entre deux têtes de musiciens nègres ». Devenu l'affichiste à la mode, Paul Colin va travailler pendant près de quarante ans pour les arts de la scène et le monde du spectacle. « pensant l'affiche en composition fermée rythmée par un système géométrique simple qui accroche facilement l'oil ».

Son style, au début très marqué à la fois par l' Art déco. Devient rapidement très personnel et difficile à faire entrer dans une simple catégorie : l'efficacité dans le dépouillement. « l'affiche doit être un télégramme adressé à l'esprit ».

, la justesse synthétique de ses portraits, la force d'évocation de ses affiches pour les grandes causes en font un maître de la communication visuelle dont l'ouvre reste aujourd'hui exemplaire et très actuelle. Son album Le Tumulte noir (1927), magnifiant lui aussi Joséphine Baker.

« Sous ses yeux, pour la première fois, je me sentais belle ». Ajoutant dans la préface de l'album. « il fait de plus en plus noir à Paris. Bientôt il fera si noir qu'il faudra d'abord une allumette pour y voir clair, puis une autre pour savoir si la première est bien allumée ou non. Et les musiciens de jazz. De la Revue nègre, constitue sans doute un chef-d'ouvre. « sa création la plus libre, la plus inspirée et débridée, vibrante de couleur et de mouvement ». « si elle n'échappe pas aux stéréotypes dune époque, estime Valérie Marin La Meslée, cette traversée au bout de la nuit noire bruit d'une folle énergie, en captant jusqu'aux rythmes du jazz qui embrasent les silhouettes croquées sur scène et dans le public ». Il est en 1929, en même temps que membre de la nouvelle Union des artistes modernes. Le fondateur et directeur d'une école de dessin, l'école "Paul Colin", sur le boulevard Malesherbes.

Il y forme des élèves de toutes les nationalités, par exemple l'allemande Ruth Bess. Devenue une artiste reconnue et plus particulièrement le célèbre affichiste Bernard Villemot. En 1931, il dessine un portrait de Suzy Solidor.

À la demande de Jean Mermoz. En 1932, il effectue un voyage en Russie. Paul Colin prend position dans la Guerre d'Espagne. En faveur du camp républicain.

Ainsi que l'énonce son affiche de 1939 Paris ne doit pas être le Madrid. De demain, assiégé par la Reichswehr. Liberté commerciale pour l'Espagne républicaine dont la silhouette, dramatiquement cubiste. L'affiche signée de Paul Colin Silence, l'ennemi.

Qu'édite en février 1940. Le gouvernement français de la Troisième République. Restitue l'inquiétude ambiante, dans une époque où règne un climat d'espionnite, quant au danger mythique de la « cinquième colonne. » selon lequel des Français pro-hitlériens ou des allemands réfugiés en France travailleraient dans l'ombre à la défaite. Si, après l' armistice de juin 1940.

L'artiste crée plusieurs affiches à thèmes humanitaires. Il se refuse à travailler tant pour l'occupant allemand que pour l'État français et revient ainsi à la peinture de chevalet en brossant des Bouquets de fleurs. La reprise de son travail d'affichiste est marquée par la Marianne. Aux stigmates, allégorie de la République en vêtements de ruines et bonnet phrygien. Portant aux mains les stigmates de la crucifixion. Souffrante mais debout, le regard tourné vers les libérateurs. Peinte dans les seules trois couleurs nationales le. Date à laquelle Paris n'est pas encore libérée, Marianne aux stigmates est destinée à être reproduite en grande quantité afin d'être affichée sur les murs des villes de France. L'affiche Hommage aux libérateurs de Paris est créée par Paul Colin pour une soirée organisée à l'initiative du journal Libération le. Accuse en 1946, l'artiste saura de même. « exporimer le pathétique du sujet avec un dépouillement extrême ». Le premier numéro de l'hebdomadaire résistant Action. Après la Libération reprend une de ses affiches qui avait été interdite. Paul Colin a également été un important collectionneur des arts premiers. Ainsi que de minéraux et de coquillages exotiques. Au soir de sa vie, Paul Colin modèle des sculptures polychromes d'inspiration cubiste. À la Maison des artistes. Il est enterré au cimetière de Nogent-sur-Marne. Affiches lithographiques pour le cinéma Lucienne Radisse. Georgia Graves, danseuse des Folies Bergère. (disques La voix de son maître), vers 1935. Dans « Le rapide de nuit », Affiches H. Trois films, trois affiches : 1. Une tempête sous un crâne ; 2. Cinéma Édouard-VII - Georges Breakston. Dans « Comme les grands. Journal d'un curé de campagne.

Un condamné à mort s'est échappé. Affiches lithographiques pour le théâtre et le music-hall.

Revue Nègre, Music-hall des Champs-Élysées, Imprimerie H. Les féeries fantastiques de la Loïe Fuller. La cavalière Elsa, tragédie de Paul Demany. D'après Pierre Mac Orlan, mise en scène de Gaston Baty. Studio des Champs-Élysées, Imprimerie H.

Numéro de piano à quatre mains, Le Bouf sur le toit. Têtes de rechange de Jean-Victor Pellerin. Mise en scène de Jean Le Poulain. Imprimerie Bedos et Cie, 1926.

La machine rouge de Claude Orval. Maya, spectacle en huit tableaux de Simon Gantillon. La machine à calculer, spectacle d' Elmer Rice. Mise en scène de Gaston Baty. Mise en scène de Louis Jouvet.

André Renaud, pianiste, Imprimerie Chachoin, 1929. De Jean Giraudoux, mise en scène de Louis Jouvet, Comédie des Champs-Élysées, 1929. Les criminels de Ferdinand Bruckner. Mise en scène de Georges Pitoëff. Dans Au temps des valses, opérette de Noël Coward.

Juliette ou la clé des songes de Georges Neveux. Théâtre de l'Avenue, Bruxelles. La chanson du bonheur, Gaîté-Lyrique. Les comédiens de bois de Jacques Chenais, 1945. Arlequin serviteur de deux maîtres, compagnie Piccolo Teatro di Milano.

Affiches lithographiques liées à événements ou engagées. À 23 heures, Théâtre des Champs-Élysées, 1927.

Foire exposition, Nancy, du 4 au. Salon de l'ouvre unique - IVe Salon de l'art français indépendant, 1932. Bal romantique avec le concours de l'École Paul Colin.

Serre et Cie, vers 1935. 16e Salon des arts ménagers. Ministère des Colonies - 2e Salon de la France d'Outre-mer, Grand Palais, Paris.

Exposition Ministère des Colonies - France d'Outre-mer dans la guerre, Imprimerie S. Courbet, Grand Palais, Paris, 1945. Par le socialisme, vers la liberté, élections de l'Assemblée constituante. Souscrivez pour l'Espagne républicaine, pour les guerillos, leurs familles, leurs enfants, pour les blessés et invalides de la guerre d'Espagne, Imprimerie Curial-Archereau, 1946.

Exposition des techniques américaines de l'habitation et de l'urbanisme -Grand Palais du. Hôtel des Invalides, Paris, 1947. La nuit orientale, spectacle-bal, 1947. Ministère de la reconstruction et de l'urbanisme - Exposition internationale urbanisme habitation. Bal des arts Douanier Rousseau.

Imprimerie Bedos et Cie, 1949. Exposition Paul Colin - Pavillon de Marsan - Musée des arts décoratifs, Paris, 1949.

Centenaire de la mort de Frédéric Chopin. 18e Salon international de l'aviation, Grand Palais, Paris, 1949. Exposition internationale du textile, Lille.

Non aux accords de Bonn et de Paris - Conseil national du mouvement de la paix, 1952. Ils se sont sacrifiés pour la liberté - Paix et liberté, 1954. Pour la paix, contre les tyrannies totalitaires, 1954.

Exposition d'art foklorique roumain. Office publicitaire de la France, 1954. 21e Salon international de l'aéronautique, du 10 au.

Vu par cent peintres, exposition organisée par la Société de pétrole Shell Berre, centenaire du premier forage pétrolier, Musée Galliera. Salon de Paris - Musique, peinture, poésie, chapelle de la Sorbonne, Paris, Lucien Auclair imprimeur, 1980. Exposition Paul Colin - Chapelle de la Sorbonne, Paris, Imprimerie Burlet, Paris, 1981. Adhérez à l'Amicale des femmes de prisonniers, 1957. L'année mondiale du réfugié, 1960. Tu aimeras ton prochain - Devenez confrère de Saint-Vincent de Paul - Sauvez une vie, donnez votre sang, Imprimerie Bedos et Cie, 1968. Musée d'ethnographie du Trocadéro. Leroy, premier opticien de Paris, Imprimerie H. Comodia vous offre le théâtre, Imprimerie H. L'alcool à brûler - Le meilleur et le moins cher des anti-gel, vers 1935. Paris - Société nationale des chemins de fer, 1936.

Varices, phlébites, Imprimerie Chaix, 1937. Emprunt de la Défense nationale - Pour sauver la paix, 1938.

Emprunt de la Libération - Souscrivez, 1945. Philips, le triomphe de la qualité en T. Est-France, quotidien de la démocratie socialiste - Combat pour la liberté, Imprimerie S. Compagnie génétale transatlantique - French line Atlantique-Pacifique-Méditerranée, Imprimerie S. Cabaret dansant, spectacle, vers 1950. La sensationnelle machine à laver Supersonic, Compagnie franco-suisse, années 1950. Ou la joie de vivre, Imprimerie Bedos et Cie, vers 1962. Réfrigérateur Bosch, affiches Gaillard, 1963.

L'enfant et les sortilèges, poème de Colette. Mise en scène de Jacques Rouché.

Chorégraphie de Serge Lifar, décors et costumes de Paul Colin, opéra Garnier. Judith de Charles de Peyret-Chappuis.

Mise en scène de Julien Bertheau. Décors et costumes de Paul Colin, Théâtre Hébertot. Le Feu sur la terre. Mise en scène de Jean Vernier. Le Tumulte noir : Joséphine Baker.

Préface de Joséphine Baker, quarante-cinq dessins de Paul Colin lithographiés par Mario Ferreri et colorés à la main au pochoir, Éditions d'art Succès, Paris, 1927, réédition La Martinière, 1998. Mémoires de Joséphine Baker recueillies et adaptées par Marcel Sauvage. 30 dessins inédits, Paris, Simon Kra, 1927.

Cocktails de Paris présentés par Rip et illustrés par Paul Colin, édition originale constituée de cent dix exemplaires numérotés, Éditions Demangel, Paris, 1929 (exemplaire en ligne). Knock ou le triomphe de la médecine, Collection Arlequin, éditions du Sagittaire, 1931. Cora Laparcerie-Richepin, La vraie Carmen : pièce radiophonique.

En trois parties d'après l'ouvre célèbre de Prosper Mérimée, présentation de Robert de Beauplan. François Mauriac, Pierre Mac Orlan, Programme du bal des Petits lits blancs, illustrations de Mariette Lydis. Georgette Rostain, Jean Cocteau, Paul Colin, Raoul Dufy. Organisé par le journal Le Jour au Cercle Interallié. Vingt fables de La Fontaine.

Édité sous la direction de Jean Cassou. Au profit de la Croix-Rouge française. Lithographies originales par Yves Alix.

Quarante et un exemplaires numérotés, Éditions C. Musée des arts décoratifs de Paris.

Paul Colin : peintures, dessins, Maison de la pensée française, Paris. Femmes, galerie Drouant-David, Paris, 1953. Au service du pays , avril. Claude Robert, commissaire-priseur, et Jean-Claude Bellier, expert, Ventes de l'atelier Paul Colin, hôtel Drouot.

Claude Robert, commissaire-priseur, et Jean-Pierre Camard, expert, Vente de l'atelier Paul Colin, Hôtel Drouot, Paris. Les deux cents affiches de Paul Colin dans la collection de la Bibliothèque nationale : Le spectacle, les grandes causes, les affiches commerciales, Bibliothèque nationale de France. Jacques Lenormand et Patrick Dayen (Jean-Pierre et Florence Camard, experts), commissaires-priseurs, Paul Colin, maître affichiste et peintre, vente de l'atelier Paul Colin, hôtel Drouot. Galerie des ambassades, Paris, mai.

Paul Colin et les spectacles, musée des beaux-arts de Nancy. « Le Tumulte noir » de Paul Colin, Le Villare, Villers-sur-Mer. Salon des peintres témoins de leur temps. Centre culturel de la communauté française de Belgique.

Les affiches en France de 1939 à 1945, musée de la Résistance et de la Déportation. El espectáculo está en la calle. El cartel moderno francés : Paul Colin, Jean Carlu. Musée national centre d'art Reina Sofía.

Quand Paris était une fête. La collection Jacques Crépineau, galerie Catherine Houard, Paris, septembre.

Siècle à l'Opéra de Paris, bibliothèque-musée de l'Opéra. - 170e anniversaire de la naissance de Paul Verlaine. Du « Tumulte noir » à « Jazz », Cité du Champagne Collet-Cogevi, Aÿ-Champagne. Affiches de guerre 1914/1945, musée d'Aquitaine. The Jazz Age : American Style in the 1920s, Cooper-Hewitt, Smithsonian Design Museum. Les ouvres d'Henri Matisse et Paul Colin imprimées par le lithographe Mario Ferreri, théâtre Le Forum, Fréjus. Paquebots, Centre municipal de l'Affiche, de la Carte postale et de l'Art graphique. « Des centaines d'affiches théâtrales et commerciales, des dizaines et des dizaines de maquettes de décor pour les scènes les plus diverses, du Casino de Paris.

Des projets de costumes pour le cinéma sans compter toute la peinture et les innombrables dessins que lui inspire amoureusement son culte du nu féminin, tel est l'ensemble que nous offre aujourd'hui ce travailleur infatigable, paresseux comme tous les vrais créateurs, ce provincial de formation classique qui par la grâce de la femme et du théâtre devint un des parisiens les plus subtils, cet artiste d'avant-guerre qui sut se transformer en un affichiste et un décorateur d'avant-garde, ce tourmenté qui semble enfanter en se jouant, cet esprit amateur de fantastique - à la manière allemande - mais qui s'épanouit dans une latine expression de lumière colorée... Car en réalité Paul Colin est fait de tous ces contrastes et c'est de là que provient sa puissante et si séduisante personnalité. « Soudainement, je voyais les murs s'animer de ses inoubliables affiches, qui toutes marquaient une date de la vie de Paris.

Galas, bals de charité, fêtes de nuit, spectacles, qui en une soirée rendaient célèbre une jeune Noire habillée de bananes. On n'imaginait pas un événement artistique ou mondain qui ne fût annoncé par ses allégories aussitôt populaires. Avait-on besoin d'une affiche pour lancer un emprunt ou engager une campagne d'intérêt général, c'était à Colin qu'on s'adressait. « Paul Colin, pour qui la véritable affiche est "celle qui brutalise et qui viole", excelle dans les genres les plus divers. Il a recours au gag (Grand Prix de Paris, Arts ménagers), brosse des portraits-affiches Line Viala. , traduit des épisodes tragiques Sinistrés de Madagascar. , où il souligne avec vigueur le pathétisme des événements qu'il présente (Libération de la France). Les Muses, encyclopédie des arts. « Un bon affichiste est déjà un bon peintre. Paul Colin l'a prouvé. Il s'est aussi montré fervent de théâtre faisant partie des jeux de la fête. Jacques Couelle de l' Académie des beaux-arts. « L'exemple le plus abouti de la Liberté retrouvée demeure la magnifique Marianne. De Paul Colin, achevée ou réalisée lors des journées libératrices elles-mêmes. À l'image du Christ, dont elle porte les stigmates, Marianne connaît la résurrection. Sa Passion fut douloureuse, ce dont témoignent des traces et une attitude. Les traces, outre les stigmates sanglants des mains, sont celles de ses vêtements, dont le flou de leur représentation laisse supposer les haillons d'une robe ou les ruines d'immeubles bombardés. Mais l'attitude même de Marianne témoigne de la souffrance passée. La grande colonne de bleu soutenu rappelle une ultime fois les poteaux d'exécution et le sacrifice de ses meilleurs enfants fusillés par l'ennemi. Mais elle-même ne peut encore affronter directement le soleil de la liberté, et elle doit se protéger les yeux. Cependant, nulle inquiétude ne perce dans son attitude car l'avenir s'ouvre sous les meilleurs auspices : la lumière libératrice qui vient de la gauche, de l'ouest, de la Normandie. Des Alliés, procure au ciel le bleu de la paix et s'accompagne d'une petite bise joyeuse qui fait onduler les cheveux échappés du bonnet phrygien. L'aveuglement de Marianne n'est que temporaire, simplement provoque par le contraste entre la nuit de l'Occupation et la clarté éblouissante de la Libération...

L'horizon reste incertain, mais nulle anxiété ne trouble l'expression de Marianne : sa sérénité témoigne de la victoire de la Patrie française, en réalité de sa nature éternelle. Société nationale des chemins de fer français, affiche lithographique. Les Danseurs de jazz, 1928, dessin. Le Tumulte noir, 1929, recueil de lithographies autour de Joséphine Baker et de la Revue nègre.

Musée de la Résistance et de la Déportation. Huile sur toile, 120 × 80. La revue nègre, 1925, huile sur contreplaqué, 100 × 76.

Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée. Ils se sont sacrifiés pour la liberté - Paix et liberté, 1954, affiche coloriée. Guette vos confidences, 1940, affiche.

Les Billy Arnold's rois du jazz, Théâtre des Champs-Élysées, 17. Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France.

Maquettes d'affiches dont : Libération de Paris. Fonds de plus de cent affiches. Dessins, dont les décors pour Liliom. Et pour Carnet de bal.

Fonds d'affiches lithographiques de films. Affiches pour Maya, 1927 ; Champagne Ernest Irroy, Reims, 1928 ; Le clown Grock, 1930 : Prenez l'R, apéritif supérieur, 1933 ; Quart Vichy.

1948 ; 18e Salon international de l'aviation, 1949. Musée du Général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris - musée Jean-Moulin. Hommage aux libérateurs de Paris. Gouache, projet de l'affiche éponyme. Artothèque de l'espace culturel Les Dominicaines : Le Tumulte noir, 45 lithographies.

Wiéner et Doucet, numéro de piano à quatre mains, 1925, affiche. Affiches de la donation Paul Lipschutz. Maison natale de Jean Giraudoux, 4 avenue Jean-Jaurès : Siegfried et Amphitryon 38, affiches lithographiques. Porte le nom de Paul Colin.

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